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5 habitudes des vendeurs les plus performants

By Siegfried HAACK

On ne vend plus aujourd’hui comme on vendait il y a encore 15 ou 20 ans. Internet est passé par là, les réseaux sociaux également et les clients ont des attentes différentes. Pourtant, les vendeurs les plus performants ont su développer des routines et des habitudes qui poussent toujours à aller plus loin et à rester les plus performants.
En tant qu’expert en vente et en storytelling, je vous propose de mettre à jour les habitudes de ces vendeurs extraordinaires.

1.      Se fixer des objectifs accessibles

Quand on sait se fixer et respecter un objectif en surveillant régulièrement sa progression, il y a une forte chance de se montrer plus performant que les autres.

Il existe des vendeurs qui ne parviennent pas à réussir sous la pression d’objectifs ambitieux alors que d’autres savent relever le défi.

Cela dépend de la connaissance de vos forces et de vos faiblesses.

Définir des objectifs atteignables pur mieux vendre.

Quels que soient vos objectifs, l’important est de définir des objectifs réalisables, atteignables et concrets.

2.      Faire une annonce publique sur une future réalisation

Selon Aaron Ross, auteur du livre « Predictable Revenue », si les objectifs n’apportent pas assez de pression positive, alors il faut se focaliser sur l’anticipation du public.

Au lieu de suivre le modèle des articles SMART, une nouvelle approche du travail et de la vente se dessine. Comment ? En annonçant un résultat à une date précise.

Concrètement, découpez vos objectifs en petits objectifs réalisables et annoncez-les en amont autour de vous.

Cette technique vous obligera à fournir un effort de qualité plus important pour chaque objectif.

Cela va aussi vous aider à obtenir un sentiment de satisfaction. Et surtout, vous vous sentirez plus engagé sur les deadlines, vous obligeant à vous dépasser, car vous aurez des témoins qui pourront vous rappeler ce que vous avez annoncé.

3.      Étudier le produit

Un vendeur performant est un vendeur qui connaît son produit. Il l’a étudié sous toutes les coutures.

En effet, il faut aller au-delà du produit ou de la description et chercher à mieux le connaître : examiner les défauts potentiels, le comparer à d’autres produits identiques et concurrents et surtout déceler ce qui va le différencier des autres.

Un client qui se trouve devant un vendeur qui connaît parfaitement son produit est largement plus enclin à l’acheter, car ses connaissances, sa force de persuasion dans le produit et sa motivation « travaillent » pour lui.

Poser des questions avant de faire une proposition.

Etudier le produit avant de le vendre.

Aujourd’hui, les acheteurs sont plus au courant des législations et des procédés de fabrication d’un produit.

Les réseaux sociaux et les avis clients en ligne l’aident à confirmer si un fournisseur ou un fabricant est sérieux ou pas.

En tant que vendeur performant, vous devez être en mesure de l’aider et de lui apporter ce dont il a besoin.

Comment ? En posant tout simplement des questions et en adoptant une écoute attentive.

N’interrompez jamais votre client quand il parle, répondez de façon appropriée et clarifiez vos réponses avant de faire votre proposition.

4.      Vendre, c’est aider

En tant que vendeur, vous ne cherchez pas à demander quel service ou quel produit le client souhaite acheter. Vous cherchez avant tout à l’aider et vous travaillez dans ce sens.

Les vendeurs les plus performants identifient les attentes de leurs clients.

En retour, ces derniers se sentent entendus, compris et en sécurité. Ils peuvent plus facilement acheter en étant en confiance avec leur vendeur.

5.      Rester honnête

Les clients ne veulent plus de vendeurs qui survendent leurs produits ou leurs services.

Ils veulent de l’authenticité.

Inutile de raconter quel produit est le meilleur de votre catalogue.

L’important est d’être honnête avec le client, dire la vérité.

Si le client sent que c’est trop beau pour être vrai, le vendeur perd en crédibilité.

Toujours se montrer honnête pour vendre.

8 secrets d’une présentation percutante

By Siegfried HAACK

Les présentations sont souvent associées à la monotonie, voire à l’ennui. Toutefois, il existe des techniques, des procédés et des approches pour captiver votre audience et rendre ainsi votre présentation intéressante.
En la préparant avec soin et en maitrisant certains codes, je vous propose de découvrir les secrets d’une présentation percutante.

1.      Vous devez connaître votre public

Avant toute présentation, il est important de savoir à qui vous allez vous adresser.

Savez-vous quels sont leurs intérêts, leurs attentes ou leurs besoins ?

Plus vous comprendrez leur perspective, plus vous serez à même de modifier le ton de votre voix, d’adapter votre langage et apporter des exemples adéquats pour rendre votre présentation percutante.

2.      Vous maitrisez votre langage corporel

Les mots ne sont qu’une partie mineure de votre message, car votre corps et votre gestuelle parlent aussi pour vous.

On parle de communication non verbale.

Surveiller son langage non verbal pour bine présenter.

Avec des gestes mesurés et naturels, vous allez transmettre votre message plus efficacement.

Ne faites pas de grands gestes ou de gestuelle répétitive, car vous risquez de perdre l’attention de votre public

3.      Vous établissez un contact visuel

Comme lors d’une conversation individuelle, vous devez tenter d’établir un contact visuel avec votre audience, car cela vous aidera à créer une connexion.

Regardez les personnes dans votre auditoire, balayez votre regard de gauche à droite, devant et au fond de la salle. L’important est que chacun se sente impliqué, concerné, écouté.

Si vous rencontrez des sourires dans la salle, répondez-leur par le vôtre.

Toute cette attention visuelle démontre une confiance et un intérêt pour votre sujet.

4.      Vous songez le ton et le débit de vos mots

Savez-vous que votre voix est un outil terriblement puissant ? Elle permet de délivrer un message, de capter l’attention et de transmettre des émotions.

En adoptant une voix claire, bien modulée et expressive, vous captivez davantage votre audience.

N’hésitez pas à travailler votre diction, mais aussi le rythme et le débit de vos paroles.

Faites des pauses stratégiques pour mettre en valeur ce que vous dites et pour laisser à votre public le temps d’intégrer vos idées.

Les mots ont un sens, rappelez-vous.

5.      Vous interagissez avec votre public

Votre public n’est pas venu pour rester passif et « subir » ce que vous avez à dire.

Plus vous l’impliquerez dans votre discours, plus vous aurez de chances de capter son attention.

Posez-lui directement des questions pendant ou à la fin de votre présentation. Cela va aider à susciter des réflexions et amener à des discussions.

Votre auditoire reste engagé et attentif à votre discours.

Créez une connexion avec votre public !

Astuce : dès le début de votre présentation, puis quelques minutes après, demandez-leur s’ils vous entendent clairement, s’ils comprennent ce dont vous parlez. Leur approbation permettra de jauger du niveau d’interactivité et ainsi de vous adapter le cas échéant.

6.      Vous faites de l’humour

Cette approche est à utiliser avec parcimonie.

En effet, à moins que vous soyez un comique professionnel, l’humour n’est pas nécessairement votre métier.

Toutefois, une touche d’humour ou une anecdote amusante permet de rendre votre présentation plus fun, plus agréable et, in fine, plus mémorable.

Un souvenir amusant, une expérience originale, ou des jeux de mots subtils vont aider à détendre l’atmosphère et créer une connexion avec votre public.

7.      Vous restez en mouvement

Si vous restez immobile derrière un pupitre, votre auditoire risque de s’ennuyer.

Pourquoi ne pas vous déplacer légèrement dans l’espace ? Vous créez ainsi une certaine dynamique et cela vous aide à instaurer une proximité physique avec votre public.

En revanche, ne cherchez pas à faire des gestes excessifs, car cela va distraire et perturber la concentration de votre audience.

8.      Vous concluez votre présentation percutante

Cela semble évident à première vue, mais beaucoup de speakers, de coaches, de présentateurs n’indiquent pas quand leur speech est terminé.

Formulez une conclusion structurée pour laisser une impression durable.

Profitez-en pour récapituler les points essentiels de votre discours et terminez sur une note forte.

À l’image d’un appel à l’action (« Call to action » en anglais), invitez votre public à réagir.

Soigner sa conclusion pour une présentation percutante.

Comment structurer efficacement votre discours avec des étapes-clés ?

By Siegfried HAACK

Quand vous savez préparer et structurer votre discours, vous êtes assuré de délivrer des idées claires, pertinentes, voire percutantes, à votre audience.
Même si cela passe par une phase préparatoire, celle-ci n’est pas à négliger, car il en va de la façon dont vous allez délivrer votre message et des retours positifs par la suite.
Voici quelques conseils pour structurer votre discours en suivant des étapes-clés.

Une préparation mentale

Endossez votre rôle d’orateur

Pour que votre prise de parole soit la plus limpide possible, pour qu’elle atteigne votre audience en plein cœur, vous devez incarner ce que vous dites.

Ce discours doit être conduit de telle façon que nulle autre personne ne peut le délivrer comme vous le faites.

Demandez-vous comment vous souhaitez mettre de vous dans votre discours.

Pourquoi ce sujet est si important à vos yeux ? Quelle place tient ce sujet dans votre vie ?

En répondant à ces questions, vous personnalisez votre prise de parole.

C’est l’occasion d’ajouter des expériences personnelles, des anecdotes, d’exprimer quelques doutes.

Devenez orateur et incarnez-le !

Identifiez vos auditeurs

Comprenez bien une chose : vous ne prenez pas la parole pour vous, mais pour votre public.

C’est pourquoi votre présentation ou votre prise de parole ne parle pas directement de vous, ni de vos besoins ou de vos attentes. Il parle de votre audience, de ses besoins.

Vous ne pourrez les atteindre que si votre message s’adresse directement à eux.

Pour cela, apprenez à repérer leurs attentes, leur problématique et répondez-y clairement.

Demandez-vous les questions suivantes :

  • Qui est mon public ?
  • Que pense-t-il déjà du sujet que je vais aborder ?
  • Quelle est son attitude vis-à-vis de ce sujet ? Ses actions ?
  • Plus vous saurez répondre à ces questions, plus vous saurez adapter votre argumentation.

Comment structurer votre discours concrètement ?

Définissez votre objectif

Un discours structuré a toujours un objectif, une destination définie clairement.

Souhaitez-vous opérer un changement chez vos interlocuteurs ? Si oui, lequel ?

Désirez-vous qu’ils adhèrent à votre point de vue ?

Souhaitez-vous qu’ils changent et de manière de penser ?

Quelles sont les actions qu’ils doivent mettre en place ?

Plus votre objectif sera précis, plus le discours sera pertinent.

Mettre en place un plan pour un discours.

Recherchez vos idées

Désormais, vous savez à qui vous vous adressez et vous savez où vous désirez les emmener.

Vous devez chercher des idées et des éléments qui vont les transporter de là où ils sont actuellement jusqu’à votre objectif.

Demandez-vous quels sont les renseignements, les messages, les connaissances dont ils ont besoin pour faire évoluer leur ressenti.

Notez par écrit les idées qui vous viennent à l’esprit.

Vous pouvez utiliser la technique du mind mapping pour organiser vos idées principales et les idées secondaires.

Établissez un plan

Un discours structuré est un discours qui suit un plan établi.

Sélectionnez les meilleures idées et hiérarchisez-les.

Vous devez conserver entre 3 et 5 grandes idées et les diviser en sous-parties le cas échéant si cela s’avère pertinent.

Créez un plan de votre discours.

Développez votre argumentation

Quand votre plan est prêt, vous allez pouvoir développer chacune de vos idées.

Mais attention, on ne rédige pas un discours comme on écrit une rédaction.

Inutile d’écrire des phrases toutes faites pour les restituer tels quelles devant votre public !

Regroupez vos idées et idées secondaires sous la forme de mots-clés.

Pensez à ajouter des exemples pour chacune de vos idées, des illustrations, des visuels, de la vidéo, des anecdotes.

Enfin, n’oubliez pas de terminer chaque partie ou sous-partie par une petite synthèse.

Sachez conclure

Il est très important de soigner votre « sortie ».

Au même titre qu’une introduction donne envie à votre auditoire de vous écouter, la conclusion est ce moment où vous affirmez à votre public ce qui doit être compris et intégré.

Sollicitez-les pour savoir s’ils ont bien compris, s’ils ont éventuellement des questions.

Vos derniers mots doivent laisser une impression forte dans l’esprit des auditeurs.

Comment construire une histoire captivante pour vendre ?

By Siegfried HAACK

Vendre un produit ou un service n’est pas aussi simple que l’on peut le penser puisque la qualité du produit ne suffit pas. Il en faut plus pour attirer l’acheteur. C’est autour d’une histoire captivante que le vendeur doit créer une attente chez son client.
En tant qu’expert en vente et en storytelling, je vous livre comment construire une histoire marquante pour vos clients.

Le storytelling : l’art de raconter une histoire

Spécialiste du storytelling en France, je vous propose de découvrir le storytelling ou l’art de raconter une histoire pour implique et engager vos futurs acheteurs.

Technique de communication qui consiste à recourir à une histoire (souvent personnelle) à fort pouvoir de séduction et de persuasion, le storytelling prend la forme d’une petite anecdote ou d’un conte plus étoffé.

L’objectif reste toujours le même : toucher émotionnellement votre public et faire passer votre message de manière fluide et naturelle.

Qu'est-ce que l'art du storytelling ?

Ainsi, dans un discours commercial, on ne va plus chercher à vendre un produit en se basant uniquement sur ses caractéristiques techniques — même si celles-ci rassurent toujours le client — mais on va évoquer ses avantages dans le quotidien du client. On parlera facilement de son histoire, de sa conception ou on fera des retours des anecdotes des utilisateurs.

Les 4 règles pour une histoire captivante

Quand vous pensez storytelling, pensez toujours que vous devez susciter des émotions chez votre interlocuteur.

En effet, celui-ci n’achète pas un produit, mais une histoire.

4 règles à suivre pour raconter une histoire qui vend.

Voici les 4 règles à suivre pour construire et articuler votre histoire :

  1. La véracité : vous ne devez pas inventer une histoire. Vous devez partir d’un fait ou d’un événement véridique, et authentique.
  2. La simplicité : votre message doit être accessible, audible et entendu de tout le monde. Inutile de faire compliqué, ne cherchez pas à utiliser un jargon spécifique qui risque de « perdre » votre client.
  3. Le naturel : votre discours doit être certes préparé en amont, mais il importe qu’il se déroule sur le ton de la conversation. Comme si vous parliez à un ami.
  4. L’humour : essayez d’intégrer quelques touches d’humour. Faire sourire ou rire le client libère une hormone de bien-être chez ce dernier, il sera plus enclin à s’intéresser à votre produit.

Comment créer une histoire captivante pour vendre ?

Je vous livre quelques secrets pour créer votre histoire marquante afin de vendre votre service ou votre produit ou votre projet.

Déterminez votre « pourquoi »

Quand vous créez votre histoire, cherchez toujours pourquoi vous cherchez à en parler.

Qu’est-ce qui vous motive ?

Quelle est la raison qui a mené à la création d’un tel produit ?

Quelle est votre mission ?

En prenant de recul, vous identifiez la raison de votre produit au-delà de sa simple commercialisation.

Comprenez votre produit

Vous devez tout connaître sur votre produit ou votre service.

En cherchant à comprendre comment celui-ci s’intègre dans votre marque, vous allez mieux cerner ses points forts et ses particularités.

Quelle est la fourchette de prix de mon produit ?

Résout-il un problème récurrent ?

En quoi est-il si différent des autres ?

Connaître son public pour raconter une histoire captivante.

Comprenez votre public

Pour construire une histoire forte et impactante, vous devez savoir à qui vous vous adressez.

Découvrez les attentes, les points forts, mais aussi les besoins de vos clients. Cela vous aidera à cibler votre discours et aussi à personnaliser votre communication.

Si vous cherchez à toucher le plus grand nombre, vous prenez le risque de toucher peu de personnes finalement. Tout le monde n’a pas le même besoin.

C’est pourquoi en ciblant votre auditoire et en cherchant à savoir ce qu’ils attendent, vous augmentez vos chances de vendre.

Comment utiliser le storytelling pour créer une connexion émotionnelle ?

By Siegfried HAACK

Vous l’avez déjà entendu ou lu quelque part : les gens n’achètent pas un produit, mais une solution. Et cette solution doit leur parler suffisamment personnellement pour qu’ils franchissent l’étape de l’achat.
En utilisant votre propre histoire, vous créez une connexion émotionnelle avec votre audience qui va l’aider à faire son choix tout en renforçant votre « personal branding ».
C’est ce que fait le storytelling et je vous dis comment vous y prendre.

Qu’est-ce que le storytelling ?

Vous le savez, le storytelling, c’est mon cheval de bataille. Cette technique de communication consiste tout simplement à raconter une histoire afin de communiquer une idée un message, une valeur ou simplement pour divertir ou vendre.

Avec le storytelling, vous cherchez à capter l’attention de votre audience.

Et c’est en utilisant votre histoire personnelle, vos anecdotes que les gens vont se reconnaître dans ce que vous dites. Cette identification favorise à booster l’interconnexion entre vous et votre public.

Qu'est-ce que le storytelling ?

Dans le storytelling, vous allez utiliser des éléments comme un événement marquant de votre vie, une émotion forte ressentie récemment ou simplement parler de vos valeurs.

Loin d’être un conte de fée, le storytelling renforce l’image de marque de celui qui s’exprime et crée une connexion émotionnelle. Cela a pour effet immédiat de susciter un engagement plus profond.

À quel moment faire appel au storytelling ?

Faire appel à des histoires personnelles dans le cadre de sa communication est possible dans plusieurs endroits sur Internet ainsi qu’en présentiel :

  • Lors de vos conférences et séminaires pour créer directement un lien émotionnel avec le public ;
  • Dans les campagnes de communication traditionnelle : spot tété ou radio, affiches ;
  • Sur les réseaux sociaux : c’est l’espace idéal pour booster sa notoriété en racontant une petite part de vous-même ;
  • Dans les pages de vente et les landing pages de votre site : cela vient accroitre le taux de conversion ;
  • Sur la page « à-propos » du site Web : l’idée est de mettre en scène l’histoire de votre marque et montrer quelles sont les fondations et les valeurs de départ. Ces éléments aident à créer un lien avec le lecteur et la faire adhérer à votre projet.

A quel moment faire du storytelling ?

Comment créer une connexion émotionnelle avec le storytelling ?

Trouver un héros

Chaque histoire a son héros et votre marque, votre personal branding ou votre entreprise ne font pas exception.

Si vous représentez votre « marque », alors vous êtes le héros de l’histoire, mais vous pouvez également choisir une personne extérieure.

Le héros est au choix le fondateur de la marque, de l’entreprise, un collaborateur passionné ou encore un client satisfait et régulier.

L’important est de créer un personnage attachant qui incarne vos valeurs.

Il faut ensuite lui donner une mission, expliquer sa vision.

Créer une intrigue captivante

Il est essentiel de créer une histoire qui va captiver votre audience au point qu’il ne puisse plus en décrocher.

Inutile de vous lancer dans l’écriture d’un scénario digne d’un film d’Hollywood !

L’essentiel est d’intégrer des éléments de suspense, de surprise et surtout de l’émotion afin de maintenir l’intérêt de votre auditoire.

À noter que les histoires de réussite s’avèrent particulièrement populaires, car elles offrent au public une vision positive et optimiste.

Attention toutefois : ne perdez pas de vue que votre public doit s’identifier à l’intrigue.

C’est pourquoi faites-en sorte d’utiliser des situations qui font écho à leur problématique et à leur quotidien.

Etapes pour créer un storytelling et une connexion émotionnelle.

Donner vie à son histoire

Le storytelling n’est pas qu’une accumulation de mots percutants.

C’est aussi une technique qui utilise les sons, les images, la vidéo, les formats courts comme les Reels, les couleurs ou même les odeurs.

Votre histoire gagnera en puissance et en profondeur.

Psychologie de la persuasion : comment influencer votre public ?

By Siegfried HAACK

Que ce soit conscient ou pas, lorsque vous prenez la parole en public, vous désirez persuader votre auditoire de l’intérêt de votre message. Vous souhaitez le convaincre de vous faire confiance, n’est-ce pas ?
Pour valider une proposition, investir dans un projet, acheter un produit ou encore voter pour vos idées, le mécanisme est le même.
En utilisant la psychologie de la persuasion, vous travaillez sur les émotions de votre public dans l’optique qu’il vous suive.

Persuader ou convaincre ?

La différence entre persuader et convaincre n’est pas toujours très simple à identifier.

Si vous souhaitez convaincre, vous devez faire appel à la raison.

Il s’agit concrètement d’un travail sur l’opinion et l’objectif, tout en se basant sur des faits ou des chiffres.

Mais une décision ne se prend pas uniquement sur une délibération en pesant le pour et le contre.

Pour déclencher une prise de décision (acheter votre produit, adhérer à votre newsletter, investir dans votre projet ? etc.), vous devez être capable de persuader.

Vous devez donner à votre auditoire des raisons de vous suivre. Mais vous devez aussi lui insuffler de la motivation pour agir.

Et cela passe inévitablement par les émotions.

Quelle différence entre convaincre et persuader ?

La persuasion est donc un travail sur les émotions. Votre discours sera efficace s’il permet à votre public de passer de la réflexion à l’action.

Pourquoi avoir recours aux émotions ?

L’être humain est rarement motivé par des données chiffrées uniquement. Les faits ne lui suffisent pas ou plus désormais.

Il a besoin d’être motivé, de trouver un sens à ce qu’il va faire. Et cela se situe au niveau limbique de notre cerveau, le siège de toutes nos émotions.

En étant capable de faire appel aux émotions, aux aspirations, aux motivations personnelles, aux besoins et aux frustrations également de votre public, vous êtes à même d’actionner la décision de vous suivre.

Psychologie de la persuasion : pourquoi utiliser les émotions ?

C’est Aristote, il y a plus de 2000 ans de cela, qui l’avait déjà énoncé à travers son fameux triptyque « Ethos / Logos/Pathos ».

Selon le philosophe, on ne donne pas de jugement de la même manière selon que l’on ressent de la joie, de la peine, de la tristesse, de la frustration, de l’amitié ou de la haine.

Ainsi, pour prendre une décision, l’être humain — au-delà des arguments factuels et rationnels — associe des affects aux options qui se présentent à lui.

On comprend dès lors que les émotions jouent un rôle essentiel dans toute prise de décision.

Psychologie de la persuasion : allier émotion et raison ?

Pour que votre discours soit le plus persuasif, pour qu’il puisse être capable de faire changer les opinions, votre discours doit être crédible (« ethos »), convaincant (à travers les mots et les formules employées « logos ») et persuasif (« pathos »).

Comment allier émotions et raison dans votre discours ?

Le discours est alors envisagé comme un parcours qui mêle avec subtilité éléments factuels et éléments émotionnels.

Vous devez le commencer en établissant votre crédibilité, c’est la partie « ethos ».

Vous expliquez pourquoi vous êtes sincère et légitime pour vous exprimer sur le sujet (parler des diplômes, de la fonction actuelle ou du poste en cours, de l’expérience passée, etc.)

 

Ensuite, vous construisez votre argumentation en vous reposant sur des arguments rationnels solides. Ce sont des études scientifiques, des définitions, des syllogismes. Cela va aider votre auditoire à le convaincre de manière rationnelle.

 

Enfin, une fois qu’il est convaincu, votre public a besoin de vivre des émotions (crainte, peur, enthousiasme, joie, suspense, ambition, aspirations, etc.). Il doit ressentir ces émotions et associer les affects négatifs à ses problèmes et les affects positifs à vos solutions.

 

Cette utilisation des émotions ou psychologie de la persuasion est un excellent levier pour transformer le comportement de votre auditoire en permettant à la compassion de se substituer à l’analyse.

Découvrez les 3 piliers de la prise de parole en public

By Siegfried HAACK

Le moment de s’adresser publiquement à une audience n’est jamais facile ou anodin. Et pour vous assurer une totale réussite, il est essentiel de comprendre quels sont les piliers d’une bonne prise de parole en public.
Je vous propose de les découvrir ensemble.

Le regard

L’un des piliers de votre prise de parole en public est votre regard. C’est en effet le meilleur point de connexion entre vous et votre public.

Dans votre regard, beaucoup de choses se disent sans même devoir mettre des mots dessus.

Un regard peut être accueillant, enthousiaste, malin, amusé, passionné.

Travailler son regard pour réussir un discours.

Plusieurs « styles » de regards sont possibles en fonction de votre discours et du message que vous désirez transmettre :

  • Un regard franc et sincère ;
  • Un regard timide ;
  • Un regard fixe et intense
  • Etc.

Si vous devez soutenir le regard d’une personne en particulier ou celui d’un groupe, il est important d’y travailler.

Regarder son ou ses interlocuteurs dans les yeux, c’est leur donner une vraie importance.

Et si vous trouvez gênant de le ou les regarder, sachez que ça le deviendra pour la personne en face de vous.

Votre posture et votre gestuelle

De même, votre langage corporel parle pour vous.

C’est d’ailleurs vos mouvements, vos gestes et la manière dont vous vous tenez qui seront retenus par vos interlocuteurs à 80 % tandis qu’ils ne vont à peine retenir que 15 % de ce que vous dites.

Certaines postures peuvent laisser une impression de timidité, de stress alors que d’autres postures apportent un sentiment d’assurance et de confiance en soi.

On retrouve ainsi plusieurs postures typiques :

  • Les pieds ancrés dans le sol, aucun mouvement des bras ;
  • Les pieds ancrés dans le sol et quelques mouvements des bras pour occuper l’espace ;
  • Les pieds non ancrés au sol et beaucoup de mouvements dynamiques des pieds, des mains ou des bras.

Le mieux est de conserver une posture ouverture, jambes décroisées en adoptant des gestes arrondis et amples.

Les bons gestes comme piliers de la prise de parole en public.

Gestes à éviter

Certains gestes et certaines postures sont à proscrire comme :

  • Garder les mains dans le dos : vous vous privez de la gestuelle de vos mains et cela donne une image d’une personne stricte, fermée, sans oublier que l’on croit que vous dissimulez quelque chose.
  • Les gestes dits « moulins » : vous tournez sans cesse vos mains et cela vient perturber, voire parasiter votre discours.
  • Les gestes indécis : indique un manque d’assurance ou de connaissance de son sujet.
  • Les bras collés à votre corps ou les mains qui s’agitent sous la taille (mais qui bougent dans les poches par exemple) : donne l’impression d’une personne tendue.

Gestuelles des mains à connaître

  • Mains vers le haut : ouverture ;
  • Mains vers le bas : calmer, diminuer ;
  • Doigt pointé vers le haut : pour insister sur un point en particulier ;
  • Compter sur ses doigts : énumérer ;
  • Pouces et index reliés : précision, sens du détail.

Votre voix

Évidemment, votre voix est l’un des piliers les plus importants, car c’est elle qui véhicule votre message.

Votre voix insuffle de l’authenticité, de l’émotion dans un discours, mais elle peut aussi révéler du stress.

Barack Obama ou comment savoir placer sa voix.

Il importe alors de travailler sa voix, seul, avec un coach ou lors de séances de théâtre par exemple :

  • Travailler le volume : puissante, forte ou silencieuse ;
  • Le rythme de votre débit : pauses, narrations, accélérations ;
  • Modulation de la voix : alternance entre les aigus et les graves ;
  • L’articulation : travailler sa diction et son élocution ;
  • L’intonation : pouvoir insister sur un mot ;
  • Travailler le souffle : grâce à des exercices de respiration ventrale.
  • L’utilisation des silences : on n’y pense pas toujours, mais le silence a un fort pouvoir dans un discours. Il donne du poids aux mots, il permet de recadrer l’attention de l’auditoire et s’avère aussi utile quand on est stressé pour retrouver ses repères. Regardez comment Barack Obama utilise à la perfection les silences !

Pour avoir d’autres conseils et si vous voulez aller plus loin dans la maitrise de la prise de parole en public, n’hésitez pas à me contacter !

Comment utiliser l’humour dans votre speech ?

By Siegfried HAACK

Pouvoir créer une connexion avec votre public est essentiel dans la réussite de votre prise de parole en public. Et si vous passiez par la case humour ? Voici une manière efficace et rapide de créer un lien émotionnel avec votre audience.
Quels sont les avantages de l’humour dans un discours ? Et quels conseils suivre pour éviter le bide ?
Je vous délivre ici quelques astuces pour rendre votre public plus réceptif à votre humour.

Les avantages de l’humour dans vos présentations orales

Outil qui présente de nombreux avantages, l’humour permet de briser la glace entre votre public et vous-même. Cassant les codes d’un mode de présentation austère et classique, l’humour n’est pas sans risque non plus.

Vous apportez de la joie

C’est tout simple et évident, et pourtant cela crée la différence.

Dans un monde sérieux où l’on est abreuvé d’informations loin d’être positives, rire permet d’oublier son quotidien et de laisser échapper la pression.

Apportez de la joie grâce à l'humour dans vos présentations !

Une personne qui rit souvent est plus heureuse dans sa vie de tous les jours.

En tant qu’orateur, vous pouvez apporter un peu de bonheur et de joie autour de vous, rendre le moment plus léger le temps de votre présentation.

Vous réduisez le stress chez votre public

Entre les contraintes de la vie professionnelle et celles de la vie personnelle, sans oublier la pression que l’on se met parfois tout seul pour atteindre ses objectifs, on crée facilement du stress.

En intégrant l’humour à votre discours oral, vous permettez à votre audience de se détendre, de relâcher les muscles de leur corps et d’être encore plus avec vous.

Vous augmentez votre propre créativité

Ajouter un trait d’humour dans vos prises de parole en public permet d’exprimer votre créativité et de partager votre sensibilité.

Même si beaucoup de personnes restent sur l’idée que l’humour est seulement destiné à faire rire, c’est aussi une formidable opportunité de montrer la finesse de votre esprit, votre intelligence et votre sens d’observation.

Vous devenez sympathique

On préfère tous quelqu’un qui sourit et qui fait rire à une personne qui reste sérieuse, voire fermée sur elle-même.

Devez sympa et accessible avec un brin d'humour !

Naturellement, nous sommes tous plus enclins à communiquer et à échanger avec une personne qui a un trait d’humour. Pourquoi ? Parce que cela aide à apaiser les tensions, à détendre l’atmosphère, et à mettre à l’aise tout le monde pour que la communication soit la plus fluide.

Automatiquement, aux yeux de votre public, vous devenez quelqu’un de sympathique, d’abordable, quelqu’un qui sait prendre du recul sur la vie et les événements.

En plus de vous rendre abordable, vous gagnez en charisme et en respect, car le public s’identifie à vous.

Comment intégrer l’humour dans votre prise de parole publique ?

Pour booster vos présentations et faire rire votre public, voici quelques recommandations pour ajouter une touche d’humour à votre speech.

Restez naturel

Pour être certain d’assurer vos blagues, il est essentiel de rester vous-même.

Ne cherchez pas à enjoliver les choses de manière trop lourde.

Raconter une péripétie personnelle amusante sans forcer le trait permet de faire mouche à chaque fois.

Plus vous restez naturel, plus vous avez de chances de toucher votre audience.

Privilégiez la qualité

Vous connaissez probablement la maxime qui dit « Less is more ».

Elle s’applique à l’humour.

Inutile de cumuler les blagues toutes les 2 minutes pour crée une connexion, vous n’êtes pas un humoriste.

L’objectif ici n’est pas de créer un one man show, mais de créer une interaction avec votre public.

Rappelez-vous que si vous devez faire une présentation de votre produit ou d’un de vos services, vous devez rester professionnel et efficace.

L’humour, ici, a pour but de capter l’attention, de susciter de l’empathie et de convaincre votre public.

L'humour le plus efficace reste une blague courte.

Et n’oubliez jamais de pratiquer l’autodérision. Avant de rire d’autrui ou de quoi que ce soit, vous devez être en mesure de rire de vous-même, ce qui implique de montrer vos limites personnelles. Cela contribuera à humaniser votre discours oral.

Les éléments-clés de votre histoire captivante

By Siegfried HAACK

Tout le monde ne s’improvise pas auteur ou intervenant public. Ceux qui parviennent à intéresser leur auditoire intègrent des éléments clés qui rendent leur histoire captivante.
D’après mon expérience, voici les principaux éléments que vous devez mettre en place dans vos présentations pour les rendre dynamiques et interactives.

4 éléments clés pour une histoire captivante

Une structure solide

Quand je vous parle de structure solide, je veux dire par là que votre progression doit être limpide et naturelle.

Votre histoire doit se dérouler de façon fluide du début à la fin.

Logique, sans demander trop de travail de compréhension de la part de votre public, votre histoire doit monter également en intensité jusqu’au climax puis à la chute de l’action.

Des personnages charismatiques

Que vous parliez de vous-même ou que vous preniez en exemple des personnes de votre connaissance, que ces personnes soient réelles ou non, une histoire captivante comporte toujours des personnages à la fois mémorables et fascinants.

On les aime ou on les déteste, mais ils ne laissent pas indifférents.

On va chercher à s’identifier ou, au contraire, se dire que l’on n’est pas du tout comme ça.

Votre ou vos personnages doivent avoir des objectifs, des motivations intéressantes.

Et pour rendre ces individus captivants, votre rôle est leur montrer qu’ils ressemblent à des gens ordinaires, à votre auditoire en somme.

Un puissant contenu dramatique

Toute bonne histoire contient une part dramatique afin d’offrir suffisamment de tension pour alimenter un arc narratif.

Le développement de votre storytelling doit donner l’impression d’avoir des ramifications et des conséquences avec votre auditoire.

Ne cherchez pas à tricher en compromettant vos chances de créer un drame. Prenez des exemples dans votre vie de tous les jours, ou dans celle de vos proches ou de vos clients (c’est toujours mieux). Votre récit ne sera qu’un reflet de ce qu’ils ont pu vivre et ils pourront davantage adhérer à votre message.

Créer un contenu dramatique pour attirer les regards.

Une thématique qui parle

Une bonne thématique attire et séduit.

Que l’on parle de dynamique familiale, de traumatisme générationnel, de troubles ou de perte d’identité, d’acceptation de soi, ce sont des thèmes auxquels tout le monde peut s’identifier.

Dans votre storytelling, vous devez prendre le temps de développer des thématiques inspirantes sans pour autant les surcharger.

Votre audience n’a pas besoin d’être assommée par le thème, mais cela doit rester un fil d’Ariane dans votre discours.

3 conseils pour rendre une histoire captivante

1.      Rester honnête et humble

Vous ne devez pas avoir peur de vous présenter publiquement comme vous êtes.

Certes, votre histoire a de la valeur, elle est importante. Mais qu’elle soit exceptionnelle ou banale, elle va parler aux personnes qui vous écouteront.

Derrière toute l’histoire, ils ne verront qu’un humain, vous.

Vous ne devez pas vous focaliser sur comment vous devez être, mais vous concentrer pour définir quelle partie de votre histoire peut toucher votre audience.

‍2.      Incarner le storyteller en vous

Savoir raconter une histoire, c’est jouer le jeu et se mettre dans la peau d’un conteur le temps de votre présentation.

Vous aurez plus de chances de convaincre.

Comment faire ? En pratiquant, en vous entrainant, en essayant.

Posez votre voix, faites attention à votre gestuelle, mémorisez les grandes lignes et les points importants, anticipez les questions.

Devenez le héros de votre histoire !

3.      Créer de l’identification

Votre audience doit obligatoirement se reconnaître dans votre récit afin que l’identification soit parfaite. Créez de l’émotion chez votre public et vous aurez accompli plus de la moitié du chemin.

Demandez-vous qui est votre auditoire ? Y a-t-il davantage d’hommes ou de femmes ? Quel est l’âge moyen ? Ont-ils les mêmes références que vous ?

L’importance du WHY en business

By Siegfried HAACK

L’importance de trouver la raison de ce que l’on fait, du véritable objectif de son business est ce que l’on appelle le « why ». Subtil mélange entre développement personnel et entrepreneuriat, la question du pourquoi permet d’avoir une vision claire de son travail.
Voici pourquoi et comment vous devez définir votre WHY en business.

Que signifie « trouver son why » ?

La question du « why » s’avère cruciale quand on se lance dans une activité professionnelle, qu’elle soit artisanale, commerciale, associative, entrepreneuriale ou humanitaire.

Pourquoi ? Parce que c’est justement ce qui explique ce qui vous inspire. Le « why » est cette raison d’être de votre business.

Qu'est-ce que le WHY en business ?

On peut l’appeler « mission », « vocation » ou encore but profond. Mais cela regroupe foncièrement ce qui donne un sens à ce que vous faites.

L’importance du why

Quand on se pose la question de son « why », on retrouve habituellement 2 autres notions que sont le « quoi » (what) et le comment (« how »).

Le « quoi » indique ce que vous faites et ce que vous proposez comme produits ou services.

Le « comment » est la manière dont vous vous y prenez pour faire vivre votre business, pour vendre en somme.

Même si l’on parle beaucoup et facilement du « what » et du « how », il est parfois plus ardu de répondre au « pourquoi ». Or, cela devrait être le moteur de votre activité.

Les « comment »  et « quoi » devraient ensuite découler de votre « pourquoi ».

Vous me suivez toujours ?

Pourquoi est-il important de trouver son POURQUOI ?

Quand vous avez trouvé votre « why », votre business s’avère plus serein, plus pérenne et plus fluide. En effet, vous savez pourquoi vous faites les choses et ce que vous devez mettre en place pour atteindre vos objectifs. À partir de là, vendre sera plus facile.

Comment trouver votre « POURQUOI » en business ?

Sachez avant tout que la réponse à votre « pourquoi » ne va pas s’imposer d’elle-même.

La réponse à cette question s’avère particulièrement personnelle.

Vous pouvez, par exemple, lire le livre de Simon Sinek Start with why où il explique que les personnes qui réussissent et qui ont trouvé leur « why » s’avèrent être les plus inspirantes, les plus productives et les plus créatives.

Pour reprendre sa formule : « les gens n’achètent pas ce que vous faites, mais la raison de ce que vous faites ».

Il n’y a pas de recette miracle pour trouver votre « pourquoi ».

Mais voici une méthode qui peut vous inspirer :

  • Prenez une feuille blanche ou ouvrez un document Word.
  • Écrivez sans réfléchir des mots qui viennent à votre esprit quand vous pensez à votre motivation.
  • Dites pourquoi vous avez décidé de créer votre business : un évènement en particulier ? Une expérience ? Des croyances profondes ?
  • Pourquoi choisir telle cible ?
  • Quels sont les valeurs et les principes que vous souhaitez insuffler dans ce que vous faites ?

Comment trouver son WHY ? Astuces.

Les missions ou votre « why » risquent de se trouver parmi les suivantes :

  • Changer les choses afin de modifier les règles du jeu.
  • Le dépassement : l’envie de s’attaquer à tout ce qui semble impossible.
  • Contribuer à améliorer les choses : à la manière d’un visionnaire avec un objectif à long terme.
  • Par amour ou par connexion : l’objectif est de vivre dans un monde positif et uni.
  • Construire quelque chose de significatif.

Votre « WHY » ne va pas apparaitre immédiatement sur votre document comme par magie.

Vous allez devoir reformuler vos phrases pour affiner votre réflexion… et vos réponses.

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