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Storytelling : créer de l’émotion pour vendre

By Siegfried HAACK

Savez-vous pourquoi Apple et d’autres grandes marques parviennent à susciter l’envie chez le client ? Ce n’est pas en étalant son savoir-faire ou sa technologie. C’est par le biais du storytelling qui permet de créer des émotions pour mieux vendre.
À partir des émotions ressenties, vous vous identifiez plus facilement et vous vous souvenez mieux des produits ou services proposés.

Storytelling et achat

Pour provoquer le processus d’achat et de fidélisation par la suite, le storytelling s’avère être une arme de séduction massive.

Processus d'achat avec le storytelling.

En travaillant sur le branding, en racontant une histoire dont n’importe qui peut être le héros, la marque ou l’entreprise ne vous propose pas uniquement un produit, mais une ambiance dans laquelle vous êtes partie prenante.

En achetant ainsi un produit Apple, vous achetez plus qu’un produit high-tech, vous montrez que vous êtes différent des autres, que vous avez votre unicité.

Le storytelling crée ces émotions en vous.

Et c’est la science qui le dit : nous retenons plus facilement une information qui a suscité une forte émotion comme le rire, la colère, la surprise, etc.

À quel moment faire du storytelling ?

Le storytelling s’utilise un peu partout à partir du moment où vous souhaitez avoir une communication différente et interactive.

Quand faire du storytelling ?

Cela peut ainsi se trouver :

  • Dans une campagne publicitaire : spot télé ou radio, affiche, etc.
  • Sur les réseaux sociaux : l’objectif est de créer une communauté et de la fédérer autour de vos valeurs.
  • Dans les pages de vente et les landing pages : cela va accroitre le taux de conversion.
  • Dans la page « à propos » de votre site Web : l’idée est de mettre en scène l’histoire de votre entreprise ou de votre marque et la vôtre en tant que fondateur.
  • Dans une séquence d’emailing : cela permet de donner davantage envie de cliquer sur un lien et donc générer du trafic.
  • Dans un article de blog, dans un livre blanc ou ebook, dans son contenu éditorial, dans un post : vous suscitez l’intérêt du lecteur ou de l’internaute.

Créer le parfait storytelling pour susciter des émotions et vendre

Voici les principales étapes pour créer un storytelling réussi pour mieux vendre grâce aux émotions.

Dépeindre une situation initiale

Vous plantez le décor et le héros de votre histoire en veillant à bien connaître votre cible.

Ajouter un élément perturbateur

Cet élément est généralement un problème qui concerne votre public cible.

C’est aussi à cet instant que le héros va surgir, qu’il va changer de comportement ou faire changer d’attitude les autres protagonistes ou encore partir en quête d’une solution.

Les étapes du storytelling pour vendre.

Définir la quête

C’est ici le cœur du storytelling.

Les émotions sont à leur comble et tout le monde s’interroge : le héros va-t-il réussir à s’en sortir ?

Saura-t-il franchir les obstacles pour atteindre son objectif ?

Vous devez créer une sorte de suspense pour inciter le lecteur ou l’internaute à vouloir connaître la fin.

En faisant durer le plaisir de la quête, vous attisez sa curiosité.

Le héros peut se faire conseiller ou se voir offrir un objet qui va changer la donne.

Finir avec la résolution

Dès lors, la tension redescend et c’est grâce au produit ou au service recommandé que le dénouement a pu avoir lieu.

La situation finale

C’est une sorte d’épilogue qui va conclure votre récit et synthétiser pourquoi vos services ou vos produits fonctionnent.

Il importe alors de rappeler d’où est parti le héros et d’indiquer comment il a évolué.

C’est ici, enfin, que l’on montre une vision claire du succès qui attend l’internaute ou le client s’il doit réagir comme le héros.

5 techniques pour gérer le trac

By Siegfried HAACK

Monter sur scène ou s’adresser à un public pour une présentation fait souvent monter une grande dose d’adrénaline, mais aussi de stress. Le fameux trac de la scène peut pourtant se gérer.
Voici quelques techniques que j’expérimente pour mes interventions et que vous pouvez mettre à votre profit dès à présent pour gérer votre trac.

Comprendre le trac

Avant de voir quelles sont les techniques permettant de surmonter le stress et le trac, il est important de comprendre ce que cela signifie.

Le trac ressemble au stress, mais se différencie par sa durée et par les éléments déclencheurs.

Le stress peut être perçu comme un élément d’anticipation en lien avec une peur de vous retrouver face au public c’est que le cas pour les acteurs au théâtre par exemple. Dans ce cas-là, vous imaginez toutes les projections possibles, bonnes et mauvaises et vous pouvez alors perdre rapidement vos moyens.

Qu'est-ce que le trac ?

Le trac peut aussi être un frein si vous en subissez ses effets. Vous allez bafouiller, trembler, avoir le regard fuyant et votre auditoire va le remarquer.

Mais le trac disparaît habituellement au bout de quelques minutes.

Question : saviez-vous que plus de 95 % de vos peurs ne se réalisent jamais ? 95 %. Cela laisse songeur, non ?

5 techniques pour gérer le trac sur scène

Ces techniques et ces conseils sont valables sur scène, mais aussi dans votre vie de tous les jours si vous êtes sujet au stress d’être en public.

1.      Accepter le trac et se décontracter

Vous devez prendre conscience que le trac est une émotion normale et passagère.

Prenez le temps de vous détendre, décontractez vos jambes, relâchez la tension au niveau de vos épaules et de vos bras.

Détendez aussi votre nuque en effectuant de petits cercles.

En se décontractant, votre corps vous envoie un message positif apportant confort et sérénité.

Apprendre à se détendre pour gérer le trac.

2.      Respirer profondément

La gestion de votre respiration est primordiale.

Pour la contrôler et ainsi maitriser votre stress, faites quelques exercices avant de vous retrouver en public.

Isolez-vous, faites une respiration ventrale en inspirant par le nez et en gonflant votre ventre. Vous bloquez la respiration quelques secondes et expirez lentement la bouche en cherchant à rejeter un maximum d’air le plus longtemps possible.

Cela va aider à réduire votre rythme cardiaque et décontracter votre corps.

3.      Positiver et visualiser

En « paramétrant » votre cerveau différemment en le mettant en mode « pensée positive », vous évitez que le trac vienne assombrir votre perception de la situation.

Tout n’est pas noir, rien n’est désespéré.

Focalisez-vous sur une idée, une pensée ou un souvenir joyeux et créez un environnement mental positif.

Vous allez, peu à peu, vous considérez avec confiance et assurance, prêt à donner le meilleur de vous-même en public.

Visualiser le positif.

4.      Méditer

Quand vous savez que vous allez monter sur scène ou vous exprimer en public, prenez un temps pour vous recentrer sur vous-même.

Faites le vide en vous et autour de vous.

Comment ? Avec la méditation, vous prenez entre 15 et 20 minutes pour vous détendre, apaiser l’agitation de votre esprit et détendre votre corps.

5.      Surveiller son alimentation

Enfin, il ne faut pas oublier que votre alimentation et votre consommation en boisson jouent un rôle sur votre nervosité, sur la gestion du stress.

Ne consommez pas de caféine.

Et, préférez une consommation équilibrée de légumes et de fruits (avec ou sans sucres lents) la veille pour le jour J. Vous aurez une meilleure digestion et profiterez d’un vrai bien-être.

BONUS

Répétez encore et encore.

L’une des meilleures façons de gérer votre trac est de répéter votre texte, de revoir votre représentation, de faire des tests à voix haute.

Entrainez-vous jusqu’à retenir l’idée suivante.

Mettez-vous devant votre miroir, devant vos amis ou votre famille et parlez.

Vous construirez alors le storytelling de votre prochain succès.

Eloquence : une compétence très recherchée

By Siegfried HAACK

Tandis que l’écrit garde un rôle clé dans la communication et l’interaction dans la sphère professionnelle, une autre forme de communication prend aussi de l’ampleur : la communication orale.     
Savoir bien s’exprimer et prendre la parole en public devient une compétence douce et puissante très recherchée. C’est là qu’entre l’éloquence dans votre discours oral.

Communiquer efficacement avec l’éloquence

Les capacités à s’exprimer à l’oral sont aujourd’hui devenues déterminantes dans nos vies personnelles, professionnelles, associatives ou étudiantes.

En effet, la prise de parole en public et l’aisance à l’oral sont des soft skills particulièrement recherchées par les recruteurs et les jurys.

Apprendre à mieux communiquer avec l'éloquence.

Savoir communiquer, à l’écrit et à l’oral, est un facteur clé de réussite.

Pendant un laps de temps défini, vous devez confronter vos convictions à une autorité (manager, jury, recruteur). C’est une opportunité de sublimer le fond de votre pensée par la forme.

Mais le fond et la forme doivent s’équilibrer. Ainsi, savoir parler de soi, structurer un discours, créer un pitch efficace et l’adapter à son public relève d’un art et d’une discipline, car cela demande un travail sur soi.

L’éloquence : une compétence soignée

On estime que 47 % des jeunes ne se sentent pas préparés aux entretiens de recrutement et 35 % d’entre eux redoutent même de ne pas savoir comment répondre aux questions.

Afin d’y remédier, la seule solution est de se focaliser sur un travail autour de l’oral.

C’est d’ailleurs au cours de ce travail que vous allez appréhender et maitriser la notion de storytelling. Vous apprendrez à vous mettre en scène ainsi que votre parcours pour mieux porter votre message.

La prise de parole en public est une clé d’entrée dans de nombreux réseaux professionnels, personnels et sociaux.

Soigner votre langage avec l'éloquence.

Que ce soit pour prendre la parole au cours d’un discours de fin d’année, pour motiver une force de vente en tant que directeur commercial, pour partager une vision en tant que leader ou encore pour convaincre des investisseurs en tant qu’entrepreneur, l’expression orale est aujourd’hui un enjeu qui ne doit pas être mis de côté.

3 conseils pour booster votre éloquence

L’éloquence n’est pas une chose innée. Voici une compétence qui se travaille et trouve ses racines dans vos expériences de vie, dans vos rencontres et les multiples occasions de prendre la parole en public.

Less is better

La 1ère chose est de savoir que le moins est toujours le mieux.

On peut aussi dire que le mieux est l’ennemi du bien.

Avec l’éloquence, on ne cherche pas à utiliser un vocabulaire élaboré ou grandiloquent dans l’espoir de paraître plus savant ou intelligent.

Non, l’éloquence est cette faculté à traiter une information et à la transmettre à un public ciblé de manière lisible et claire.

Plus votre auditoire pourra vous comprendre, plus vous paraîtrez éloquent. Plus vous gagnerez en crédibilité.

Utilisez un vocabulaire succinct et clair pour diminuer les risques de perdre le fil de votre pensée. Vous éviterez de bafouiller également.

Moins parler mais mieux.

Travailler la diction

Ensuite, tout est question de diction.

Votre auditoire doit être en mesure de comprendre ce que vous dites. Les mots et les sons doivent résonner de manière cohérente dans leur esprit.

Si vous marmonnez, parlez trop doucement ou si vous bégayez trop souvent, cela peut affecter la capacité de votre auditoire pour vous comprendre.

Travaillez votre diction, soignez votre prononciation et insistez sur les mots clés tout en énonçant chaque syllabe.

Oublier les mots de remplissage

Le dernier conseil que je vous donnerais est celui d’oublier les mots de remplissage comme « vous savez… », « comme… » ou encore « je veux dire… » qui vont polluer votre élocution.

Même si ces mots représentent une réaction instinctive pour éviter un silence gênant ou un discours mal maitrisé, ils restent des tics de langage qui nuiront à votre éloquence.

Le storytelling pour renforcer votre notoriété

By Siegfried HAACK

Permettant de connecter votre marque à votre public, le storytelling repose sur la complicité autour d’une histoire. Bien utilisée, elle personnalise l’expérience client et la rend participative.
Voici une très bonne occasion pour aider à renforcer votre notoriété grâce au storytelling.

Qu’est-ce que le storytelling ?

Aussi appelé communication narrative, le storytelling est l’art de raconter une histoire en scénarisant un message tout en levant des leviers émotionnels.

Que ce soit pour vendre du rêve, des émotions, du bonheur ou encore du partage, le storytelling s’attache davantage à ces valeurs qu’aux qualités du produit auquel il est rattaché.

Le storytelling aide à positionner une entreprise ou une marque afin d’accentuer sa différenciation et ainsi booster sa notoriété.

Pourquoi ? En jouant sur l’émotion, le storytelling déclenche un processus d’identification à votre marque ou à votre enseigne.

Qu'est-ce que le storytelling ?

Grâce à ce procédé de narration, votre communication est différente et percutante. Avec une histoire réaliste à laquelle tout le monde peut s’identifier, le storytelling attire des candidats et des clients potentiels de manière naturelle.

Cette approche s’inscrit dans le long terme à l’inverse des messages publicitaires classiques.

Avec l’émotion suscitée et la pertinence du scénario, le storytelling installe votre image de marque de manière durable dans les esprits.

Quelle stratégie digitale pour votre storytelling ?

Pour doper votre image de marque et vous faire connaitre, intégrer le storytelling dans votre stratégie de communication est une étape pertinente et très efficace.

Voici comment procéder.

Identifier vos personas

Il est essentiel d’identifier les personas que vous souhaitez toucher et émouvoir avec votre storytelling.

N’hésitez pas à user de la segmentation pour affiner votre cible et déclinez ensuite votre storytelling en fonction.

Ensuite, vous pouvez identifier l’émotion que vous souhaitez provoquer pour mieux définir le contenu de votre storytelling (image, texte, vidéo, Reel, interview, etc.)

Créer un scénario attractif

La clé d’un bon storytelling est le scénario.

Celui-ci doit faire rêver, susciter des émotions fortes et amener votre public, vos prospects ou vos clients à se reconnaître dans votre histoire.

Mais le storytelling peut être aussi une manière de raconter l’histoire de votre marque, de montrer les valeurs qu’elle défend. Cela va capter l’attention et engager votre audience.

Quelle stratégie choisir pour intégrer le storytelling ?

Votre persona, votre client : le héros

Enfin, il faut garder en mémoire que votre objectif est de toucher votre public.

L’histoire que vous allez créer doit mettre le héros/le persona au cœur de l’action pour qu’il s’identifie immédiatement : une situation, une aventure, un évènement qui sort de l’ordinaire, un challenge, une histoire d’amour, etc.

Le but, rappelons-le encore une fois, est de confronter votre persona/client/héros à des situations fortes en émotion dans lesquelles une solution est trouvée en fin de récit.

Quelles conséquences pour votre notoriété et l’entreprise ?

Vous vous différenciez

Avec un bon storytelling qui fait rayonner votre notoriété, votre univers et votre image de marque, vous renforcez la lisibilité de votre offre.

Et l’émotion suscitée permet de retenir mieux votre message.

Il importe alors d’intégrer des contenus textes, images et vidéos de qualité et personnalisés pour vous démarquer de votre concurrence.

E-reputation et storytelling : le combo magique.

Une e-reputation améliorée

En partageant votre storytelling sur les réseaux sociaux, vous contribuez à développer votre réputation sur Internet.

Le choix du storytelling incite les internautes à visiter votre site Web, votre boutique en ligne et à découvrir finalement vos produits et vos services.

De nouveaux clients

Avec le storytelling intégré dans votre stratégie de communication, un contenu efficace et ciblé, vous attirez nécessairement des clients et des prospects vers votre marque.

Dès lors, une relation de confiance vient s’instaurer. Cela permet de convertir ces nouveaux arrivants en clients potentiels.

Votre notoriété parlant pour vous, il convient de soigner votre communication avec votre cible.

Comment gérer un trou de mémoire ?

By Siegfried HAACK

N’avez-vous jamais vécu ce moment étrange du fameux trou de mémoire lors d’une de vos présentations orales ? Tandis que vous prenez la parole, tout semble se dérouler comme prévu quand soudain, vous perdez le fil, vous hésitez et les mots vous manquent.
Comment gérer un trou de mémoire ? Voici quelques astuces pratiques pour vous aider à y faire face.

Éviter le mot à mot

Pour celui qui prend la parole, la mémorisation est un élément important de sa préparation. Toutefois, apprendre mot à mot son texte ne s’avère pas non seulement fastidieux, mais aussi anxiogène.

En effet, si vous partez du fait que chaque mot doit être retenu, vous augmentez le niveau de difficulté de l’exercice. Vous dispersez vos forces et votre énergie alors que vous pourriez la canaliser autrement.

Oubliez le mot à mot pour gérer un trou de mémoire.

Et quand on est focalisé sur ce que l’on doit dire, on prend le risque de ne plus être concentré sur son auditoire.

Le message délivré ne fait plus vibrer le public, cela ne le captive plus.

Et quand un élément extérieur impromptu (bruit extérieur, intervention soudaine, quelqu’un qui soupire trop fort ou qui tousse, quelqu’un qui sort en urgence, etc.) va se glisser dans votre présentation, vous serez déstabilisé.

Ne pas choisir l’apprentissage par cœur

Comme pour une pièce de théâtre, on a l’impression qu’apprendre son texte par cœur est une garantie d’une prise de parole réussie.

Le fait est que vous n’êtes pas là pour délivrer un texte. Et vous ne bénéficiez pas d’une période de répétition (des jours, voire des semaines parfois) comme en profitent les acteurs.

Si vous cherchez à apprendre par cœur, vous allez perdre du temps et de l’énergie. Même avec les meilleures techniques de mémorisation, cela vous demandera toujours du temps pour mémoriser entièrement votre discours.

Il est préférable d’apprendre les points clés de votre discours.

Oubliez l'apprentissage par cœur !

Concentrez-vous sur le message essentiel, le message stratégique de votre prise de parole.

S’il y a une phrase à apprendre par cœur, c’est la 1ère phrase de votre pitch, celle qui va donner envie d’aller plus loin et de vous écouter. Et puis la dernière, celle que tout le monde conservera en mémoire !

Ne pas chercher la perfection

Le plus important n’est pas de devenir parfait, mais d’être le plus impactant possible.

Quand vous acceptez que tout ne soit pas réglé comme du papier à musique, vous laissez la place à la spontanéité.

Concrètement, vous accueillez mieux les éventuelles perturbations, les réactions et les questions de votre public avec davantage de souplesse.

En un mot, vous faites place à l’imperfection à l’erreur.

Ne soyez pas parfait mais impactant !

L’important est de vous focaliser sur 3 éléments :

  • Votre message essentiel ;
  • Les points clés de votre discours ;
  • Les chiffres et dates pour appuyer votre discours.

Faire une pause pour gérer le trou de mémoire

Le trou de mémoire intervient aussi quand l’esprit est submergé d’informations. Il panique, et ne peut plus fournir une explication logique à cet état.

Une solution s’impose et elle consiste tout simplement à faire une pause de quelques secondes, prenez votre temps.

Pour votre auditoire, cela ressemblera à un petit silence et donc à un silence habituel. Mais vous en profiterez pour oxygéner votre cerveau et respirer un bon coup.

Astuce supplémentaire : pendant ce micro-laps de temps, si vous en avez la possibilité, profitez-en pour vous rafraichir en buvant quelques gorgées d’eau.

Surveiller son langage corporel

Votre corps parle constamment pour vous.

Le 1er indicateur d’un trou de mémoire va être le regard fuyant, un sourire absent ou une posture de fermeture avec les bras croisés, sans oublier les joues qui rougissent.

Continuez à regarder votre auditoire ! Plus vous détournez votre regard, plus il sentira votre malaise.

Surveiller le langage non verbal pour gérer un trou de mémoire.

Pensez à focaliser votre regard sur un ou deux personnes pour réduire le stress au lieu de balayer toute la salle des yeux !

Avec ces quelques astuces, vous serez en confiance et saurez gérer, avec brio et à votre avantage, vos trous de mémoire !

Gérer son trac juste avant sa prise de parole

By Siegfried HAACK

Élément inévitable à toute intervention orale devant un public, le trac peut être à la fois un moteur de motivation comme il peut devenir un frein et paralyser.
Comment gérer le trac avant votre prise de parole en public ? Quelles sont les petites astuces ?
Je vous dis tout dès maintenant.

Qu’est-ce que le trac ?

N’avez-vous jamais ressenti le sol se dérober sous vos pieds en montant quelques marches ou en étant sur une scène ? Sentir votre gorge se nouer, vos mains devenir moites et vos jambes flageolantes, sans compter votre cœur qui bat la chamade à n’en plus rompre ?

Définition du trac.

Voici quelques caractéristiques de ce qu’est le trac.

Meilleur allié des acteurs et des orateurs, le trac est aussi le pire ennemi que l’on redoute.

Il survient pour exprimer une appréhension, une peur de décevoir, ce qui dénote un certain respect pour la ou les personnes devant lesquelles on se trouve.

Et, en somme, cela relève déjà d’un bon signe, n’est-ce pas ?

5 astuces pour gérer le trac

Apprenez à déculpabiliser

Il est important de chasser de votre esprit que le trac est un signe de faiblesse ou encore d’incompétence.

Plus de la moitié des adultes se plaignent d’avoir le trac avant une prestation publique, donc vous n’êtes certainement pas la seule personne à vivre cela.

Le trac est avant tout un signe de motivation, d’engagement, d’une envie de bien faire et de respect pour l’auditoire.

Ne surestimez pas les enjeux de la situation

À part dans des situations particulières comme un oral d’un concours ou un entretien d’embauche, la plupart des réactions de trac surviennent dans des situations qui ne sont pas si déterminantes pour votre vie.

Montrez-vous honnête avec vous-même : si je ne suis pas si parfait, est-ce si important ? Si je rate cette occasion, est-ce vraiment ma dernière chance ?

Et si tout fonctionnait comme sur des roulettes après tout ?

Apprenez à relativiser et à ne pas vous mettre une pression terrible !

Préparez votre intervention

Un discours oral, quel qu’il soit, se prépare en amont.

Le trac est lié au fait de la nouveauté de la situation et à un manque de confiance à gérer celle-ci.

L’unique moyen de contrecarrer le trac est de l’affronter.

Comment ? En maitrisant votre sujet (révisions, relecture, approfondissement du sujet) et en vous entrainant à le présenter. Cela peut se faire devant un miroir, devant votre téléphone ou devant des amis et des collègues de confiance.

Bien préparer ses interventions pour gérer le trac.

Plus vous allez automatiser certaines attitudes, certaines compétences, plus vous allez gagner confiance en vous.

Votre esprit pourra alors se focaliser sur les points sensibles de la situation.

Donc, s’il n’y avait qu’un seul conseil à vous donner : répétez, répétez, répétez et ne craignez pas de vous tromper.

Enregistrez-vous en audio comme en visio pour avoir un aperçu objectif de votre prestation.

Travaillez votre respiration

Pour chasser le trac, un travail sur votre respiration s’avère nécessaire.

Tous les comédiens et les grands orateurs le savent : la manière dont on inspire et on respire aide notre corps (et le diaphragme notamment) à se détendre.

Concentrez-vous sur votre respiration pendant 2 minutes : inspirez lentement par le ventre sans avoir une profonde respiration. Puis, expirez lentement en soufflant par le nez ou la bouche légèrement ouverte.

Vous allez vous rendre compte qu’à chaque expiration, votre corps se relâche petit à petit.

Positionnez une main sur votre ventre pour visualiser physiquement les mouvements de votre abdomen.

Visualisez la situation

Il est essentiel de vous concentrer uniquement sur vos actions. Faites attention à ce que vous dites, à ce que vous faites, à qui vous parlez, etc.

Visualiser réduit le trac.

L’important est d’être dans le moment présent avant même de commencer votre prestation.

À l’image d’un skieur, visualisez la piste qui s’annonce devant vous, répétez visuellement ce que vous allez dire.

Cela vous évitera des pensées stressantes et parasites.

Eloquence : une compétence essentielle

By Siegfried HAACK

Dans la vie de toute entreprise, de toute société, de toute organisation, l’écrit a toujours joué un rôle essentiel. C’est en effet le principal canal de communication. Mais du manager qui s’exprime envers ses équipes, du dirigeant qui s’adresse à ses responsables ou encore du commercial qui cherche à vendre une offre, la parole en public est également primordiale.
Pourvoir s’exprimer à l’oral s’avère être un atout de taille. C’est le pouvoir d’une compétence comme l’éloquence.

Pourquoi l’éloquence est une compétence si importante ?

Pour beaucoup, l’éloquence est souvent associée à l’utilisation de mots complexes et à cette capacité formidable de parler à un auditoire sans lire ses notes.

L’éloquence est en fait un concept un peu plus approfondi puisqu’il s’agit de l’étude de la manière de faire vivre un message dans l’esprit du public.

Votre message.

L’éloquence est cette compétence qui repose sur la constatation qu’il ne suffit pas ou plus d’exposer ses arguments pour se faire comprendre, pour persuader ou pour vendre.

Maitriser l’éloquence dans sa vie professionnelle, c’est utiliser ses émotions et comprendre celles de son auditoire pour délivrer le message le plus juste.

De l'importance de l'éloquence en entreprise.

En somme, parler avec éloquence, c’est avoir la capacité de délivrer un message fort et clair. C’est déclarer un message qui parle aussi bien à la raison qu’aux émotions tout en se faisant comprendre et apprécier.
C’est créer une connexion émotionnelle et rayonner naturellement.

Comment développer votre éloquence ?

Scoop chers lecteurs ! L’éloquence n’est pas une compétence innée.

Au contraire, voici une qualité qui se nourrit de vos expériences passées, de vos rencontres, et de nombreuses occasions pour prendre la parole en public.

Dès lors, l’éloquence se travaille à tout âge de la vie.

Voici quelques clés pour développer cette compétence à acquérir qu’est l’éloquence.

Less is more

Contrairement à certaines idées reçues, l’éloquence n’est pas le fait de débiter un discours avec un vocabulaire grandiloquent dans l’espoir de paraître plus savant.

Au contraire, vous allez devoir délivrer un message avec une information précise de la manière la plus concise et la plus claire possible.

Plus votre auditoire sera en mesure de comprendre, plus vous paraîtrez éloquent. Vos arguments gagneront en crédibilité.

Parler peu mais juste.

Parlez de manière sobre, sans fioriture ni jargon technique. Et faites des phrases courtes afin de ne pas perdre le fil de votre discours.

Une diction impeccable

Pour gagner en éloquence et être parfaitement compris, vous devez être audible.

Non seulement votre public doit connaître les mots que vous utilisez, mais il doit en comprendre physiquement les sons et les tonalités.

Apprenez alors à travailler votre diction.

Si vous marmonnez, si vous bégayez, si vos parlez trop lentement, vous perdrez la capacité d’écoute de votre auditoire.

Soignez votre prononciation, insistez sur des mots clés et cherchez à énoncer chaque syllabe.

Pas de remplissage

Ce qu’on appelle « mots de remplissage » sont à bannir de votre discours, de vos prises de paroles et de vos notes.

Ils n’ajoutent aucun sens à votre message et surtout, ils prennent le risquent de l’« enlaidir », de le surcharger.

Des mots ou expressions tels que « comme… », « vous savez…. » ou encore « je veux dire que… » alourdissent le message.

Faites attention à vos tics de langage qui remplissent aussi le discours de façon inconsciente et qui suscitent parfois la moquerie.

Ne surchargez pas votre discours !

L’éloquence est une compétence centrale quand vous souhaitez délivrer un message.

Apprenez à la travailler et pour toute question, n’hésitez pas à me contacter, je saurai vous accompagner.

Leadership et pouvoir de communication

By Siegfried HAACK

En tant que spécialiste de la communication et de la prise de parole en public, j’ai appris une chose que je souhaite partager avec vous : la communication et le leadership sont fortement connectés.
Voici ce que j’ai découvert.

Communication ou leadership ?

Tandis qu’un leader s’avère être un individu qui inspire un changement positif et progressif autour de lui, il a besoin d’un moyen ou d’un outil pour donner envie, à ceux qui en éprouvent le besoin, de travailler vers des objectifs en commun.

Et cet outil s’avère être la communication.

La communication revêt une très grande importance en leadership.

Un leader ou un dirigeant, voire un manager efficace doit savoir comment communiquer avec divers interlocuteurs, quel que soit leur rang dans l’entreprise.

Cette prise de parole s’avère être également un appui pour renforcer les liens dans l’entreprise.

Faut-il choisir entre leadership et communication ?

D’où vient l’importance de la communication en leadership ?

Si une bonne communication est essentielle à un bon leadership, une mauvaise communication peut avoir des conséquences négatives voire désastreuses, sur les collaborateurs et l’entreprise in fine :

  • Dévalorisation des collaborateurs ;
  • Démoralisation puis désengagement ;
  • Manquement des objectifs de performance ;
  • Pertes dans les ventes ;
  • Etc.

L’objectif le plus important en communication de leadership est le suivant : cultiver un sentiment de confiance dans le milieu professionnel.

Comment ? Grâce à des messages innovants et motivants pour garder les collaborateurs et les salariés investis et concentrés sur leur travail, tous vers la même direction.

De l'importance de communiquer quand on est dirigeant.

Compétences pour une bonne communication en leadership

Se montrer honnête

Les personnes ne sont pas ouvertes envers celles en qui elles n’ont pas confiance. Et cela s’avère d’autant plus juste quand il s’agit de leadership.

L’honnêteté demeure une valeur importante. Quand les employés, les actionnaires, les partenaires et les collaborateurs ont l’impression que leur chef ou leur dirigeant est digne de confiance, alors ils investissent en temps et en énergie.

Être inspirant

Le principe le plus important dans une bonne communication en leadership réside dans votre capacité à inspirer celles et ceux qui vous entourent.

Vous devez être une source de motivation, d’inspiration, de créativité pour vos collaborateurs.

En effet, en tant que leader inspiré, vous possédez une vision du succès que vous souhaitez obtenir avec votre équipe et vos salariés.

Ralliez les personnes autour de cet objectif de succès et aidez vos collaborateurs à adopter cette vision pour atteindre les objectifs visés.

Inspirez les autres en tant que leader !

Être précis

Une communication en leadership réussie est une communication claire et limpide. Se montrer clair et concis dans les efforts pour mieux communiquer est toujours plus efficace que se montrer déroutant, superflu ou trop complexe dans ses explications.

Votre langage doit s’adapter à votre public sinon vous prenez le risque de ne pas être entendu et de perdre l’engagement des uns et des autres.

Restez simple dans votre approche et exprimez-vous avec clarté. C’est de cette manière que vous resterez cohérent avec ce que vous dites.

Dans le doute, n’hésitez pas à interrompre votre discours quand il est oral en demandant un feedback à votre public, à vos collaborateurs. Vous ont-ils bien compris ? Ont-ils saisi l’importance de l’enjeu ? Ont-ils enregistré les différentes étapes ? Etc.

Cet échange simple permet d’affiner le discours et de rester précis.

Garder l’esprit ouvert

Ne pas avoir un esprit ouvert est un des grands facteurs qui limite les éventuelles opportunités pouvant se présenter.

En restant fermé d’esprit, vous restez en mauvaise posture pour échanger.

En revanche, si vous vous montrez ouvert, prêt à entendre des opinions différentes et que vous ne cherchez pas à convaincre quiconque de changer d’avis, vous démontrez que vous êtes prêt à comprendre un point de vue différent. Votre leadership va alors évoluer à un autre niveau.

Faire preuve de responsabilité et d’intelligence sociale sont autant de qualités qui vous aideront à avoir une bonne communication de leadership.

Pourquoi faire appel à un business coach ?

By Siegfried HAACK

Pour développer votre business et votre potentiel, pour évoluer, progresser et réaliser vos compétences, l’appel à un business coach peut être une solution particulièrement efficace. Qu’il soit individuel ou collectif, le business coaching s’inscrit généralement dans le cadre d’un coaching de comité de direction ou de conseil d’administration.
Voici les principaux avantages d’un business coaching.

Comprendre ce qu’est un business coach

Un business coach, comme votre serviteur vous propose de l’être pour vous ou votre société, va aider son client à bénéficier de conseils avisés et personnalisés et particulièrement adaptés à sa situation.

Le business coach met en place un plan d’action en utilisant des méthodologies cadrées qui vont permettre au dirigeant de l’entreprise d’obtenir des outils pertinents dans sa stratégie de développement.

Le business coach ou coach d’affaires met tout en œuvre pour que le dirigeant atteigne les objectifs qu’il s’est fixés en lui donnant les moyens d’acquérir des mécanismes adaptés à sa situation.

Le dirigeant, en retour, va voir se blocages et ses freins disparaitre et pourra ainsi se focaliser sur son travail pour améliorer ses compétences.

Qu'est-ce qu'un business coach ?

Le business coach intervient dans différents domaines et pour des missions très variées :

  • Accompagnement au sein de la vie professionnelle ;
  • Suivi et soutien en cas de crise dans les missions de travail ;
  • Support pour perfectionner le management en entreprise ;
  • Une écoute attentive et des conseils en cas de reconversion professionnelle.

Comment se passe le business coaching ?

Le business coaching cherche avant toute chose à développer les compétences de son coaché pour qu’il atteigne ses objectifs.

Il va donc demander à poser les objectifs souhaités afin de personnaliser son coaching et son accompagnement.

En utilisant différents outils comme le développement personnel, la PNL ou l’hypnose pour ne citer que quelques-uns, le coach est ce support et ce soutien pour que le coaché devienne la personne capable de réaliser ses souhaits professionnels.

Comment se passe un business coaching ?

En posant à plat des objectifs SMART, le coach d’affaires accompagne son coaché dans la mise en place d’un plan d’action.

Après chaque séance, le coach affine son accompagnement pour faire naître de nouvelles compétences, de nouvelles ressources dans différentes situations du quotidien.

Le coaché se retrouve alors à vivre de nouvelles expériences où il va apprendre à développer de nouvelles réactions et ainsi valider, petit à petit, une nouvelle personnalité plus engagée, plus investie, plus aboutie.

Avantages d’un business coach

Vous développez votre leadership

Le travail de dirigeant et de management n’est pas quelque chose d’inné.

Cela se construit, se développe, s’affine. Comment ? En mettant en place une stratégie solide, en pilotant correctement une activité ou en gérant au mieux une équipe.

Le coach d’affaires est là pour prendre le recul nécessaire et apporter des conseils éclairés.

Vous travaillez vos compétences

En tant que dirigeant ou manager, le temps est cet élément qui manque cruellement pour se former.

Et pourtant, les compétences se travaillent toujours pour développer son ou ses talents et rester performant.

Le business coach aide à identifier quelles sont vos compétences et comment les optimiser.

Booster ses compétences avec un business coach.

Vous développez le potentiel de votre business

Le coaching d’affaires permet au dirigeant de faire le point sur son activité, sur son entreprise. Vous identifiez les bonnes stratégies à adopter et les opportunités à ne pas manquer pour progresser.

Vous améliorez la gestion du temps

Savoir s’organiser est une des clés de la réussite quand on gère une entreprise.

Le business coach accompagne le dirigeant dans la planification des tâches, dans l’organisation et la gestion de son emploi du temps.

Optimisez votre temps avec le business coach !

Vous dépassez votre solitude

Etre dirigeant, c’est être souvent seul aux commandes de l’entreprise. C’est supporter un grand nombre de responsabilités et de prises de décision.

Pour y avoir plus clair, pour éviter toute perte de confiance en soi, éviter le stress et la difficulté entre vie professionnelle et vie personnelle, le business coach reste à l’écoute de son coaché pour qu’il ne se sente plus jamais seul.

Tout savoir sur la pyramide de Barbara Minto

By Siegfried HAACK

Aujourd’hui, pour savoir bien écrire et bien rédiger un discours, vous devez savoir maitriser la langue et le style, mais aussi miser sur une qualité de production et de la lisibilité. Mais que se passe-t-il quand on éprouve le terrible syndrome de la page blanche ?
Le principe de la pyramide de Barbara Minto vous aide à structurer votre argumentation et à travailler plus le fond du discours que sa forme.

Qui est Barbara Minto ?

Avant d’évoquer le principe de sa célèbre pyramide, rappelons qui est Barbara Minto.

Universitaire de la célèbre université américaine de Harvard, elle débuta sa carrière dans le prestigieux cabinet McKinsey.

Elle fut la 1ère femme à devenir consultante dans les années 60.

Elle mit au point la méthode ou le principe de la pyramide qui est, encore aujourd’hui très utilisé par les grands cabinets de conseil dans le monde.

L’objectif : rédiger des rapports d’audit et créer des présentations.

Qui est Barbara Minto ?

Le principe de la pyramide de Barbara Minto

La méthode de la pyramide de Minto fait appel aux arbres logiques ou arbres d’argumentation afin d’organiser un raisonnement.

La pyramide est concrètement un outil visuel qui vient structurer votre pensée avant de vous lancer dans l’écriture d’un texte ou d’un speech.

Cette approche convient particulièrement aux textes analytiques qui amènent à la prise de décision.

Principes basique de la pyramide de Minto

Comment utiliser la pyramide de Minto ?

Définir la thématique

La 1ère étape est de créer le haut de votre pyramide qui correspond à votre thématique.

Cette thématique doit répondre à un certain nombre de questions auxquelles vous allez répondre sous la forme d’un storytelling :

  • Quelle est la situation ?
  • Quelle est la problématique ?
  • Quelle est la question à laquelle répondre ?
  • Quelle est votre réponse ?

Définir la ligne directrice

Ensuite, vous allez répondre à toutes ces questions de façon déductive (partir d’une idée générale pour en tirer des conséquences) ou inductive (partir de faits particuliers pour parvenir à un principe).

Si vous optez pour de l’inductif, les idées seront annotées par des noms communs.

Cela correspond au 2nd niveau de votre pyramide, juste sous votre thématique.

Exprimer ses arguments

Chaque argument doit être regroupé et hiérarchisé par niveau.

Dans les faits, les idées d’un niveau N représentent le développement ou l’argumentation de l’idée de synthèse N+1 (niveau 2).

A contrario, l’idée d’un niveau N représente la synthèse — on parle d’abstraction — des idées développées en N-1.

Vous pouvez regrouper vos idées soit :

  • De manière chronologique : les arguments surviennent dans l’ordre de leur apparition dans le temps ;
  • De façon structurelle : les arguments forment un tout (achat, ventes, production) ;
  • De manière hiérarchique : présentation des arguments par ordre d’importance.

Argumenter clairement ses idées.

Quelle que soit votre décision, il est essentiel d’exprimer vos idées avec clarté. Plus vos idées seront définies, plus votre raisonnement sera organisé logiquement.

Évitez également les digressions, car le but de la pyramide de Minto, rappelons-le, est d’obtenir un texte concis.

Enfin, pensez à apporter une trame à votre discours pour organiser vos idées.

Aujourd’hui, Internet propose des logiciels de Mind mapping pour créer votre propre pyramide de Minto.

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