All Posts by Siegfried HAACK

Vous cherchez à décrocher un financement important ? Un nouveau contrat ? Un éventuel partenariat vous intéresse en particulier ? Peut-être avez-vous un nouveau produit ou un nouveau service à proposer à vos clients ? Quel que soit votre objectif, vous disposez d’une poignée de secondes pour convaincre un décideur.
Voici comment créer un pitch impactant en moins de 3 minutes.

Qu’est-ce qu’un pitch efficace ?

Pour convaincre et séduire, vous allez devoir vous montrer sexy et concis dans votre approche, suffisamment pour intéresser votre interlocuteur et lui donner envie d’aller plus loin en adhérant à votre proposition.

Le pitch, notamment l’elevator pitch qui est l’une des formes rapides les plus en vogue, est un argumentaire éclair pour se présenter auprès d’un recruteur ou d’un prospect afin de le convaincre de la pertinence de votre idée.

Il importe de faire bonne impression, car on le sait, les premières secondes sont cruciales dans ce genre de contexte.

Quel que soit le lieu où vous vous trouvez, que ce soit pendant une soirée networking, une conférence professionnelle ou un salon, une session de prospection téléphonique ou en street-marketing en pleine rue, vous devez capter l’intérêt de votre interlocuteur en une fraction de seconde ou de minutes.

Les principales étapes d’un pitch impactant

Préparez votre accroche en amont

C’est la première phrase qui va vous aider à mettre votre idée sous les projecteurs.

Cela peut se faire par le biais d’une question, ouverte ou fermée. Ou encore par quelques mots contextuels ou simplement en évoquant un fait surprenant ?

L’important est d’éveiller la curiosité et d’engager la conversation avec vous.

Créer un élément qui capte l’attention

À partir de votre histoire personnelle, de votre expérience professionnelle, d’une anecdote ou d’un trait de votre personnalité, vous créez une connexion qui va chercher à attirer le regard de votre interlocuteur sur vous ou sur votre produit.

Faites quelque chose d’unique, mais qui vous correspond, qui reste en symbiose avec vos valeurs et votre savoir-être.

Par exemple, si vous mettez souvent une touche d’humour dans la vie de tous les jours, intégrez-en dans votre pitch impactant.

Si vous vous sentez à l’aise à l’oral, ajoutez quelques métaphores pour illustrer votre propos, car cela va faire appel à plusieurs sens et booster l’imagination de votre audience.

Enfin, sachez que l’être humain est un être sensoriel et émotionnel. L’émotion reste un vecteur puissant d’intérêt de conversion.

Vous pouvez souligner un problème auquel votre public est confronté et vous expliquez comment le résoudre. Mettez en avant les avantages d’une collaboration avec vous ou dans l’utilisation d’un de vos services.

Abordez uniquement les points essentiels au lieu des détails et n’utilisez pas de vocabulaire technique.

Parlez simplement, calmement.

Savoir conclure un pitch impactant

Tout pitch impactant doit mener à une conclusion.

Dans quel but avez-vous fait ce pitch ? Quelle est la prochaine étape que vous envisagez ? Comment votre public peut vous aider à transformer cette idée en quelque chose de concret ?

Posez-lui une question, précisez vos disponibilités, laissez vos coordonnées, etc. Les appels à actions (ou CTA en anglais) sont nombreux et dépendent uniquement de vous.

Ces 3 étapes sont cruciales pour créer votre pitch impactant.

Et rappelez-vous qu’il ne doit pas dépasser les 3 minutes ou 180 secondes.

Chaque point a son importance et doit être le plus impactant possible pour mieux développer votre positionnement.

Enfin, n’oubliez pas qu’un pitch parle d’une seule et unique idée, d’un seul message. Car, si vous cherchez à trop en dire, vous risquez de semer la confusion dans l’esprit de votre interlocuteur.

Adaptez-vous à lui et trouvez dès lors le meilleur angle d’attaque.

En tant que professionnel, il importe de susciter l’intérêt de votre auditoire ou de vos clients du début jusqu’à la fin. Et si l’introduction de votre discours permet de mettre le public dans le vif du sujet, la conclusion est un élément qui ne doit pas être mis de côté au moment de votre prise de parole en public.
Voici comment réussir votre conclusion.

La nécessité d’une bonne conclusion

Si l’introduction est la mise en bouche de votre prise de parole publique, la conclusion n’est pas une fin en soi.

Voici une manière de laisser votre public sur sa faim. En effet, sa vocation est avant toute chose de maintenir le contact, de garder la connexion avec votre auditoire afin de poursuivre dans l’action ou d’aller plus en avant dans la discussion.

Il importe que votre conclusion pour qu’elle reste dans les esprits et invite à prolonger le contact entre vous et votre public se termine sur une note haute.

Son articulation doit se faire autour de 3 points :

• Répéter votre message principal (qui contient la solution à une problématique évoquée en introduction) ;
• Insister sur l’action ou la décision attendue (quelle sera la prochaine étape ?) ;
• Remercier votre auditoire.

La conclusion est essentielle, car elle est tout simplement le dernier mot de votre présentation.

Comment réussir une conclusion qui marque les esprits ?

La conclusion est ce moment qui vient renforcer votre développement. Elle apporte un rayonnement maximal.

Mais la conclusion est mauvaise, l’effet est contraire. Concrètement, la conclusion va affaiblir la portée de votre discours.

Il convient donc de soigner vos derniers mots et l’intonation que vous y mettez.

Comment faire cela ?

1. Synthétiser : vous rappelez rapidement les principaux points évoqués. Votre point de vue doit être ici clairement défini.
2. Élargir la problématique : cette solution vise à interroger l’avenir, à dépasser aussi le cadre strict du sujet évoqué pour interpeller.
3. Synthétiser et ouvrir : ce procédé combine les deux précédents. On cherche à additionner leurs qualités en associant rigueur, précision, et imagination. C’est très probablement cette forme qui va entrainer davantage l’adhésion de votre auditoire.

Conseils pour bien conclure

La manière dont vous allez conclure votre speech ou votre prise de parole publique doit être choisie en cohérence avec le contenu de votre message et aussi selon l’impact que vous voulez donner.

En storytelling, on parlera facilement de mise en valeur du message.

Voici quelques recommandations pour conclure efficacement :

• L’incitation à l’action : demandez à votre auditoire de contribuer, de coopérer, d’agir ou de réagir à votre propos. Invitez-les à téléphoner, à écrire, à communiquer, à acheter, à cliquer selon le contexte.
• La conclusion qui résume : cette forme de conclusion est généralement brève. À privilégier dans le cadre d’un discours relativement technique.
• La citation : le but de cette conclusion est de donner une certaine portée à votre message.

La conclusion est l’ultime occasion de faire vivre une expérience à votre auditoire. Il doit s’en souvenir. En vous adressant directement aux émotions de votre public, donc à leur mémoire sensorielle, vous êtes assuré de réussir votre conclusion.

Il arrive toujours, même aux meilleurs orateurs, de se prendre les pieds dans le tapis et de bafouiller, ou d’accrocher une phrase. Pour éviter la catastrophe, voici quelques exercices pratiques pour vous entraîner à parler en public.

Exercice 1 : travaillez votre souffle

Le souffle et la respiration plus largement sont les piliers de votre prise de parole en public.

Il importe donc de travailler votre souffle pour que votre voix, votre ton de voix, et votre diction soient parfaits, intelligibles et compréhensibles par tous.

Pour travailler votre souffle, allongez-vous sur le dos et repliez vos jambes près des fesses.

Inspirez et expirez lentement jusqu’à trouver une certaine régularité dans votre respiration.

Expirez l’air en serrant les dents afin de mettre l’air sous pression dans le corps. C’est cette énergie qui va servir à la production de votre voix et de votre tonalité.

Exercice 2 : respirez avec le ventre

Pour obtenir un souffle de qualité et parler en public haut et clair, il faut savoir que la respiration doit provenir de votre ventre et non de la gorge.

Cette respiration ventrale va vous aider à gérer vos émotions, mais aussi à réduire votre rythme cardiaque tout en abaissant votre température corporelle (surtout quand on a le trac, n’est-ce pas ?).

Comment y parvenir ?

Imaginez un soufflet pour le feu de cheminée. Quand vous appuyez sur le soufflet, l’air est expulsé et quand on le relâche, l’air y pénètre tout seul.

Avec la respiration ventrale, c’est la même chose.

Expirez l’intégralité de l’air par la bouche en visualisant votre nombril qui rejoint votre colonne vertébrale.

Maintenez l’apnée pendant 2 à 3 secondes et relâchez vos abdominaux

Exercice 3 : faites un travail de diction

Vous pouvez aussi répéter des phrases de diction typiques comme la suivante : « trois très gros rats dans trois grands trous rongèrent trois très gros grains d’orge » ou encore le célèbre « les chaussettes de l’archiduchesse sont-elles sèches, archisèches ? ».

Exercice 4 : chauffez votre voix

C’est en faisant des vocalises que vous allez faire chauffer votre voix de manière efficace.

Commencez par les voyelles en partant du « A » relativement grave pour aller dans les aigus au niveau de l’« Y ». Faites cet exercice en une seule expiration.

Inspirez ensuite profondément.

Puis, expirez de nouveau et faites l’exercice inverse en partant de l’aigu pour aller vers les graves.

Vous pouvez refaire cet exercice en vous concentrant sur un mot en particulier et le prononcer avec plusieurs intonations, au même titre que vous faites des gammes sur un piano.

Exercice 5 : décontractez votre corps

L’objectif est de détendre le plus possible l’intégralité de votre corps, pour éviter toute tension inutile qui entraverait la qualité de votre voix et l’apparition de tics nerveux dans votre langage non verbal.

Étirez-vous pour lâcher prise, secouez votre corps, décoincez vos articulations (cou, chevilles, épaules, hanche, bras, poignets), bâillez de manière volontaire et pratiquez la respiration ventrale.

Exercice 6 : échauffez votre visage

Plus de 90 % de votre communication va se lire sur votre visage et dans votre langage corporel.

Échauffez votre visage en le tapotant du bout des doigts afin de le décontracter et le tonifier.

Faites des grimaces volontairement pour étirer les muscles du visage.

Pensez aussi à rafraichir votre visage et vos mains.

Lorsque vous décidez de parler en public, il est essentiel que votre audience et vos interlocuteurs puissent lire sur votre visage votre humeur, votre envie de communiquer, d’échanger et de partager.

Souriez, montrez-vous avenant et envoyez des signaux positifs et surtout ne gardez pas le regard fixe. Soyez mobile avec vos yeux, votre tête, votre corps.

Naturellement, vous allez vous exprimer en public en oubliant (presque) votre trac. 😉

Depuis la crise du Covid, le monde du travail apprend à se réinventer, à proposer de nouveaux codes. La puissance du télétravail est devenue telle que les entreprises ont dû s’adapter et transformer leurs événements en les proposant au format digital au lieu d’être en présentiel.
Comment réussir votre prise de parole en distanciel ? Quels sont les éléments à prendre en compte ?
Je vous dis tout dès maintenant.

Comprendre les secrets d’une prise de parole réussie

Qu’elle soit à distance ou en présentiel, la prise de parole doit être claire, limpide. Vous devez avant toute chose être bien entendu, être compris afin que votre auditoire retienne et comprenne ce que vous énoncez.

Dans un événement de type conférence ou séminaire, on estime que seulement 5% du contenu global est retenu.

Il faut donc s’adapter au public et s’adresser à lui directement comme si vous parliez en face à face. Dès lors, le public se sentira plus concerné et son attention sera plus facilement captée.

Les 3 clés pour réussir votre prise de parole en distanciel

Afin de garder un discours percutant à travers un écran d’ordinateur, de tablette ou de téléphone, il est essentiel de suivre certaines règles.

Voici 6 clés que je vous invite à découvrir pour optimiser votre prise de parole à distance.

Soignez l’environnement

Misez sur un environnement dégagé.

Idéalement, ce serait d’avoir un mur neutre derrière vous tandis que vous parlez, ainsi, vos auditeurs ne détourneront pas leur attention.

Vous pouvez également ajouter un filtre ou un fond en lien avec le contenu de votre discours.

Veillez aussi à ce qu’il y ait très peu voire aucun bruit parasite qui pourraient nuire à votre présentation.

Surveillez que vous êtes bien visible (pas en contre-jour) et que l’on vous entende parfaitement. Un test micro et caméra au préalable est impératif.

Et si vous souhaitez un éclairage professionnel, vous pouvez investir dans une « Ring light », une lampe circulaire que l’on pose au sol ou sur son bureau.

Soignez votre gestuelle et votre tenue

Comme pour n’importe quelle présentation publique, votre tenue et votre gestuelle importent beaucoup. Même derrière un écran d’ordinateur, même devant une caméra.

Tenez-vous bien droit sur le siège de bureau, restez face à l’écran.

Astuce : placez bien votre caméra face à vos yeux en surélevant légèrement l’ordinateur.

Pendant votre prise de parole, gardez le sourire et faites des gestes envers la caméra afin de capter l’attention de votre audience qui aura l’impression que vous vous adressez directement à elle.

Interagissez avec votre auditoire

Dernier conseil pour réussir votre prise de parole en distanciel : interagir avec vos auditeurs.

La forme varie selon vos goûts et votre aisance devant la caméra.

Le but est simple : rendre l’auditeur acteur de l’événement et rendre votre présentation vivante et impactante.

Si votre auditoire peut échanger avec vous, ils ne sont plus de simples participants.

Posez-leur des questions pour maintenir leur intérêt et rebondissez sur leurs idées.

Ce sont aussi des occasions pour vous assurer que votre propos est bien compris.

Seth Godin est considéré comme le pape du marketing. Il est toujours une bonne source d’informations quand on désire se poser les bonnes questions. Toujours en avance sur son temps, il propose des métaphores et une pédagogie ainsi qu’une vision du marketing.

Le concept du marketing selon Seth Godin

Pour Seth Godin, le marketing est le fait de pouvoir trouver sa niche et son combat et rester à l’écoute de ses clients.

Le 1^er concept du marketing selon Seth Godin est que le marketing (et l’entreprise plus largement) n’est jamais suffisamment à l’écoute de ses clients.

Les raisons sont simples : l’entreprise vise toujours trop large au lieu de s’adresser directement à l’individu.

Avec Internet, l’entreprise a pensé pouvoir s’adresser au plus grand nombre plus facilement. Mais cela est une erreur, car ceux qui réussissent sont les mêmes qui s’adressent à un groupe plus restreint : on parle alors de niche.

Ainsi, l’entreprise qui a du succès est celle qui a pu naturellement écouter les besoins de sa clientèle.

Selon Seth Godin, la promesse de votre marketing définit votre offre ainsi que la manière dont vous la faites et à qui vous la faites.

Plus vous vous adresserez à un groupe réduit et unique, plus votre message gagnera en pertinence et en efficacité.

Comment réussir ce tour de force ?

Voici quelques questions à vous poser :

• Comment faire pour ressentir les besoins de mon client ?
• Ai-je déjà réfléchi à mon cœur de cible ?
• Comment vais-je lui parler ?

Le marketing = action de générosité

Le marketing, selon Seth Godin, doit être un acte de générosité vers le client.

En effet, entre les publicités envahissantes, les techniques de marketing hasardeuses, les spams, beaucoup d’éléments ont impacté négativement le marketing. Et il est possible que certains d’entre vous aient perdu le vrai objectif de leur mission dans tout ça.

Le marketing doit être efficace aujourd’hui.

Concrètement, il doit se montrer généreux et aller vers le client. Le marketing doit aider autrui à devenir ce qu’il veut être.

La technologie est ici un outil, non une fin.

Commencez par vous demander quels sont les rêves, les peurs, les émotions et les changements que recherchent vos clients.

Peut-être souhaitent-ils davantage de confiance, de sérénité, d’authenticité, d’innovation.

Demandez-vous comment rendre service à vos clients et quel genre de relation vos souhaitez avoir avec vos eux.

Comment la nourrir ?

Le marketing et le storytelling

Le marketing, c’est aussi et avant tout construire une histoire autour de votre produit ou de votre marque.

Il convient de toucher émotionnellement votre clientèle et vos prospects et tisser, par la suite, une relation de confiance.

Le storytelling est la clé pour parvenir à vos fins.

Racontez ce que vous faites et pourquoi vous le faites et vous augmenterez l’engagement et l’intérêt de vos clients envers vous et votre entreprise.

Derrière chaque acte d’achat se dissimule un désir. Les gens n’achètent pas un produit, mais l’émotion qu’il suscite en eux.

Construisez une histoire autour de vous et de votre entreprise et bâtissez-la autour de 3 points essentiels que sont :

• La vision de l’entreprise, votre mission ;
• La mise en avant des points forts du service/produit ;
• Une affirmation de vos valeurs.

C’est en affirmant vos valeurs et les déclinant sous la forme d’une histoire que vous allez faire adhérer un maximum de clients à votre marque. Les choses deviendront alors plus simples, la communication se fera plus fluide, plus naturelle et vous ne manquerez jamais de retours.

Pour booster l’attractivité de votre site Web, ou pour accroitre vos ventes, certaines techniques communes au commerce traditionnel et à l’e-commerce s’avèrent indispensables.
Voici les principales techniques de vente qu’il va falloir développer en 2023 pour augmenter votre CA.

La relance de panier abandonné

L’une des premières techniques commerciales sur laquelle focaliser est la relance du panier abandonné.

De nombreux clients viennent visiter votre site e-commerce, mettent des articles dans leur panier d’achat et décident de quitter le site sans raison apparente : manque de temps, temps de chargement trop long, changement d’avis, frais de livraison trop élevés, délais de livraison longs, processus d’achat fastidieux, etc.

Bref, ils abandonnent leur processus d’achat.

Ce taux d’abandon atteint 70 % en moyenne, ce qui signifie que seul un tiers de vos visiteurs vont finaliser leur achat.

En relançant le panier abandonné grâce à l’email de votre prospect, vous pouvez lui envoyer un petit mot de relance de son panier.

Ce rappel peut parfois le convaincre de passer à nouveau à l’action.

Faire de l’up-selling et du cross-selling

Deux autres techniques de vente très en vogue depuis quelque temps pour doper votre chiffre d’affaires, l’up-selling et le cross-selling. Il va falloir les inclure dans votre stratégie de vente.

L’up-selling, aussi appelé montée en gamme, est un procédé qui consiste à proposer un produit plus cher au client. Cela peut être aussi un produit avec une option supplémentaire haut de gamme ou encore un produit dans un format ou un conditionnement plus conséquent.

Le cross-selling est une méthode de vente en ligne qui vise à mettre en avant des produits complémentaires.

Par exemple, quand vous vendez un matelas à votre client, vous lui proposez d’acquérir un protège-matelas ou un drap-housse pour son nouveau matelas.

Ces deux techniques de vente s’utilisent habituellement au moment de finaliser l’achat, quand votre client est sur le point de commander.

Organiser des ventes privées

Tout le monde aime se sentir spécial, n’est-ce pas ?

Une vente privée est un évènement commercial réservé à des clients. Et cela peut se faire tout au long de l’année, contrairement aux soldes ou aux soldes privées qui sont plus encadrées dans le temps.

En créant des ventes privées pour vos clients, ces derniers vont se sentir privilégiés. Ils auront un sentiment d’exclusivité qui va renforcer leur sensation d’appartenance à une communauté.

Les clients sont toujours friands de bons plans et de promotions. La vente privée leur permet de faire des économies sur le prix habituel de vos produits.

Voici une excellente occasion de réduire votre marge commerciale et de vendre plus tout en accroissant votre chiffre d’affaires.

Proposer des lots ou des kits

Une autre technique de vente à laquelle faire attention en 2023 est de proposer des kits ou des lots de produits identiques ou complémentaires.

On retrouve ce procédé très couramment dans le secteur de soins d’hygiène et de beauté.

C’est le moment de mettre en avant les économies réalisées avec l’achat de plusieurs produits : -10 % pour l’achat de 2 produits, -12 % pour l’achat de 3 produits.

Voici une approche qui a un impact psychologique relativement important.

En effet, au lieu d’acheter un seul article à un prix fort, le client va être tenté de réaliser des économies. Mais il dépensera plus finalement tout en ayant obtenu un tarif à l’unité plus avantageux.

Envoyer un échantillon

Quand vos clients hésitent à acheter un produit, certains aimeraient le tester et s’assurer qu’il réponde à leurs besoins.

Afin de dépasser ce frein à l’achat, proposez-leur de recevoir un échantillon gratuit ou payant par ailleurs.

C’est une excellente technique de vente qui permet de convaincre les clients pour qu’ils passent à l’action.

En parallèle, voici également une solution pour limiter les retours et les réclamations des clients.

Vous vous en êtes sûrement rendu compte, mais vous retenez plus facilement un message quand celui-ci est relié à une histoire, n’est-ce pas ? C’est ce que propose le storytelling avec l’e-commerce.
Voici pourquoi et comment l’utiliser à des fins commerciales sur votre site Web, sur votre blog ou dans vos campagnes de social media.

Le storytelling pour des ventes qui ont du sens

Art de raconter une histoire qui porte à la fois des valeurs et amène votre auditeur à acheter ou à cliquer sur votre boutique en ligne, le storytelling change la donne en termes de vente, qu’elle soit à distance ou en présentiel.

Avec ce procédé, vos produits et votre marque deviennent uniques aux yeux de vos clients, ils trouvent désormais un sens qui fait écho en eux.

À partir de cette connexion, il devient plus facile d’acheter un de vos produits au lieu d’un énième produit similaire vide de sens.

Avantages du storytelling en e-commerce

Renforcer la confiance des clients

Aujourd’hui, les clients recherchent des marques dans lesquelles elles peuvent avoir confiance.

Si vos histoires autour de votre marque et de vos produits sont captivantes, cela va booster le sentiment de confiance que les internautes et clients ont envers votre commerce.

N’hésitez pas à faire appel aux avis des clients, à faire des essais de produits avec vos clients, à parler de votre équipe !

Se démarquer de la concurrence

Aujourd’hui, la concurrence est très importante. Entre la concurrence des magasins et des boutiques et celle qu’Internet ajoute, il n’est pas rare de trouver ailleurs le même produit ou le même service que vous proposez.

Alors, pour vous démarquer, racontez à vos clients l’histoire de votre boutique, dites-leur quels sont valeurs et vos objectifs, ce que vous attendez d’eux ou de votre marque dans les mois ou années à venir.

Cette façon de « discuter » et de rendre votre relation commerciale plus humaine apporte une touche émotionnelle qui crée la différence avec un vendeur lambda.

Affirmer une image et des valeurs

Le storytelling en vente est une stratégie qui propose un discours structuré afin de donner de la cohérence à votre image de marque.

Cela va aider à ancrer l’image de votre boutique ou de votre marque dans les esprits des consommateurs.

N’oubliez pas qu’une histoire qui génère des émotions se retient toujours plus facilement ! Cela entraine souvent une adhésion efficace des clients.

Comment utiliser le storytelling en e-commerce ?

La première chose à faire en storytelling est de ne pas raconter une histoire, mais votre histoire à vous ou celle de votre marque.

Il ne faut pas raconter une histoire fausse pour séduire à tout prix.

Au contraire avec le storytelling, vous devez raconter une histoire avec des mots qui reflètent vos valeurs et votre motivation, une histoire qui va émouvoir votre audience.

Mettre en avant des émotions et des valeurs qui vous sont propres est un très bon commencement.

Il convient alors d’identifier les éléments marquants de votre histoire pour la rendre plus authentique.

Et n’oubliez pas d’ancrer votre histoire dans le quotidien des consommateurs pour que ces derniers s’identifient plus vite.

Ensuite, alimentez votre storytelling de détails de la vie réelle de votre marque, ajoutez des exemples concrets qui se sont passés. Puis, racontez comment vous avez su rebondir, comment la marque s’est démarquée et en est sortie plus grande.

Tout storytelling respecte une structure narrative particulière : situation initiale, problème, péripéties et rebondissement puis résolution.

L’important n’est pas d’abreuver le client d’un tas d’exemples, mais de rester simple et compréhensible en lui indiquant que vos produits ou votre marque est une solution à sa problématique.

Depuis toujours, raconter a été l’unique moyen efficace de saisir une histoire, de transmettre un message. D’abord oral grâce au bouche-à-oreille, le message se traduit désormais à l’écrit également. Et le storytelling s’aide aujourd’hui de la technologie à renfort de discours, de supports visuels et audio, de graphiques, de rencontres virtuelles ou en présentiel.
Le storytelling est devenu petit à petit le meilleur moyen de faire connaitre sa marque, son entreprise, de véhiculer et faire passer un message à un public précis.
Voici quelques champs d’application du storytelling que vous pouvez retrouver et utiliser à votre tour.

Comprendre le storytelling

En tant qu’expert du storytelling, je me permets de vous proposer de (re) découvrir ce qu’est le storytelling.

Celle que l’on nomme aussi communication narrative est une mise en récit d’un propos.

Cela requiert la construction d’un schéma narratif de manière à communiquer un message spécifique à un public tout aussi spécifique.

Le storytelling permet ainsi de raconter l’histoire d’une entreprise, de présenter différents métiers, de montrer plusieurs produits, d’expliquer des compétences ou encore d’emporter l’adhésion d’un public (à l’image du discours de Steve Jobs à l’inauguration du 1^er iPhone).

Application du storytelling

Storytelling et vidéo

Avec l’apparition des smartphones et de l’Internet, notamment du streaming et des réseaux sociaux, le storytelling s’impose désormais comme un moyen indispensable pour véhiculer votre message.

Et lorsque ce genre de discours est couplé avec la vidéo qui représente, rappelons-le, près de 80 % du trafic Internet (source 2020), on comprend la puissance que cela peut avoir.

Avec des formats courts et animés, le storytelling prend la forme d’un montage de séquences qui illustrent un message ou un concept.

Storytelling et fil d’actualité de l’entreprise

Le storytelling permet de se mettre à la place du client.

En effet, ce procédé narratif raconte en quoi l’entreprise, ses produits ou ses services peuvent être utiles.

C’est l’occasion également de mettre en scène l’actualité des différents acteurs de la marque ou de l’entreprise.

Plus largement, le storytelling booste la valorisation des données, car une simple vidéo explicative ou démonstrative s’avère toujours plus percutante qu’un simple fichier Excel envoyé en pièce jointe.

Storytelling et stratégie des réseaux sociaux

Les réseaux sociaux sont un des champs d’application les plus adéquats pour le storytelling.

Ainsi, cette forme de narration permet aux entreprises et aux marques de communiquer auprès de millions d’internautes, et ce de manière plus souple, plus fun, plus informelle.

En parallèle, le coût d’une campagne sur des réseaux sociaux demeure plus faible que celui d’une publicité télévisée par exemple et l’impact est plus important.

Le storytelling sur les réseaux sociaux s’inscrit dans une stratégie dite transmédia, c’est-à-dire que le message peut rapidement être partagé sur les principaux réseaux comme Facebook, Twitter, Instagram, LinkedIn ou Tik Tok en fonction de votre public cible.

Storytelling et communication interne

En communiquant simplement et clairement avec le storytelling, l’entreprise permet de désamorcer des conflits, de diminuer de potentielles angoisses ou bien de convaincre sur le bien-fondé d’une innovation ou d’un changement.

Idéal pour les présentations et les formations en e-learning par exemple, le storytelling informe les collaborateurs et salariés d’une entreprise sans pour autant perturber le fonctionnement de l’entreprise.

C’est l’occasion d’ouvrir un dialogue et de mettre en place une communication avec un ton différent pour renforcer l’intérêt des uns et des autres, pour fidéliser d’autres collaborateurs.

Storytelling et communication externe

Enfin, le storytelling trouve aussi un nouveau champ d’application dans la communication événementielle afin d’annoncer la promotion ou l’arrivée d’un nouveau produit.

Avec une petite vidéo de présentation, la communication se fait plus efficace qu’une simple fiche rébarbative.

L’originalité et la créativité d’un bon storytelling permettent de se démarquer de la concurrence et de tisser des liens de confiance avec votre public.

Parmi les différents types de discours que vous pouvez employer lors de votre intervention à l’oral et en public, le discours direct est un type particulièrement efficace qui trouvera facilement écho chez vos interlocuteurs.

Comprendre le discours direct

Il existe principalement deux formes de discours qui permettent de rapporter les paroles, à savoir le discours direct et le discours indirect.

Dans le discours direct, le narrateur, vous en l’occurrence, rapporte des paroles et des faits sans y apporter une seule modification.

Vous conservez la situation d’énonciation. Et les mots sont rapportés comme ils ont été prononcées par la personne en question.

Voici un procédé très utile et très utilisé quand on décide de faire une conférence ou de prendre la parole en public. Cela s’avère pratique quand on cherche à contextualiser son propos en reprenant les mots ou les faits d’autrui.

Le discours direct est à opposer bien entendu au discours indirect. Dans ce dernier type de discours, vous rapportez des paroles qui ont été édictées ou prononcées de façon indirecte. Concrètement, des modifications ont été faites pour intégrer l’énoncé à votre narration.

Comment passer au style direct ?

Forme de narration orale ou écrite, le style direct relate les paroles prononcées avec exactitude, que la forme soit formelle ou libre par ailleurs.

Le but du discours direct est de permettre de restituer différents niveaux de langage (soutenu, courant, familier) ainsi que des types de phrases utilisés par diverses personnes : hésitations, répétitions, argot, patois, etc.

À l’écrit : le discours direct est introduit habituellement par un verbe de parole (dire, murmurer, déclarer, etc.). On ajoute ensuite des guillemets.

À l’oral, il suffit de reprendre les mots tels qu’ils ont été prononcés. Certains miment le symbole « guillemets » avec leurs doigts, à l’image de ce que font les Américains quand ils reprennent les dires d’une autre personne.

Analyse du discours direct

C’est le type de discours dont vous êtes le plus susceptible de rencontrer.

Il se retrouve aussi bien dans un texte littéraire, mais également dans votre quotidien quand vous citez quelqu’un.

Et quand vous prenez la parole en public, n’oubliez pas de préciser que ce sont les mots de quelqu’un d’autre.

Une technique largement utilisée est de reprendre les mots d’autrui et de se les approprier. Toutefois, l’effet final n’est pas toujours celui souhaité initialement.

C’est pourquoi il est important de préciser, à l’oral, que vous reprenez les dires d’une personne. Vous pouvez aussi la citer en fin de discours.

L’intérêt est de rapporter des mots en toute sincérité, en toute objectivité, sans fioriture ni déformation.

Introduire le discours direct

Par un verbe de parole

Traditionnellement, on introduit le discours direct par un verbe de parole, du double-points et des guillemets ou d’un tiret.

Voilà pour la forme écrite.

Sans verbe de parole

Le discours direct s’impose, au choix, dans votre discours ou dans votre texte sans être introduit par un verbe de parole et le double point.

Dès lors, il faut ajouter quelques précisions sur la personne dont vous reprenez les mots. Vous pouvez aussi vous assurer qu’il n’existe aucune confusion quant à la personne qui s’est exprimée.

Quoi qu’il en soit, il est important de connaître ce genre de discours qu’est le discours direct.

Il va aider votre public, votre lectorat, votre audience, à l’écrit comme à l’oral, à pleinement s’immerger dans votre histoire.

Ainsi, en reprenant les mots d’une autre personne qui fait foi dans votre domaine d’expertise, vous ajoutez du crédit à votre propos. Cela va booster vos ventes et vous permettre de toucher votre cible en plein cœur.

Pari gagné, n’est-ce pas ?

Quelle que soit votre prise de parole en public — organisation de réunion, session de formation, salon professionnel, etc. — celle-ci nécessite un certain talent oratoire, tout du moins une expérience en la matière. L’objectif est de créer une réelle interaction positive avec votre audience.
Voici ce qu’est le discours interactif et comment le mettre en place.

Pourquoi privilégier le discours interactif ?

Vous le savez très probablement, il est illusoire de croire que vous parviendrez à obtenir l’attention totale de votre audience depuis le début de votre conversation ou de votre prise de parole.

Même si vos informations et vos discours semblent intéressants, les faits et les renseignements fournis ne vont pas suffire à eux-mêmes.

Il y a un effort supplémentaire à fournir afin de captiver l’intérêt de votre public et ainsi favoriser la mémorisation de votre discours.

Le discours ne peut pas (ou plus) être unilatéral et porté par une seule voix.

Plus vous allez interagir et faire participer votre public, plus celui-ci va apprécier ce que vous dites et va retenir vos arguments.

Pour cela, vous ne devez plus être passif. Vous devez considérer votre public comme un acteur à part entière de votre prise de parole.

Quelques astuces pour rendre votre discours interactif

Pensez à la forme

Même si vous avez soigné le fond de votre discours, il est important de ne pas négliger la forme.

On ne parle pas uniquement de la tenue vestimentaire que vous avez, mais vous devez prêter attention à tous les éléments non verbaux qui constituent votre allocution publique.

Faites attention à votre gestuelle, effacez si possible les éventuels tics de langage qui vont parasiter votre discours.

Ajoutez un support didactique

Près de 80 % de la population retient les informations en utilisant la vue tandis que les autres 20 % sont davantage auditifs, tactiles, etc.

Ainsi, pour gagner en interaction et favoriser une écoute active de votre public, créez des supports visuels (tableaux, graphiques, diapos, infographies, vidéos, etc.).

Ce support regroupe l’essentiel de votre discours et va en même temps solliciter la mémoire visuelle de votre audience.

Faites appel à l’humour

Prendre la parole en public n’est pas quelque chose d’inné. Et pour montrer que vous êtes relativement à l’aise, pour faire oublier le stress de la prise de parole et inviter votre public dans votre univers, une touche d’humour permet de briser la glace.

En revanche, ne cherchez pas à être drôle à tout prix, car vous obtiendriez l’effet inverse.

Sélectionnez quelques jeux de mots en rapport avec le contenu de votre discours, car ils seront plus impactants que n’importe quelle blague inappropriée.

Proposez des expériences interactives

L’objectif est que le public devienne autant acteur de votre conférence que vous. L’objectif, ici, est de sortir du cadre formel tout en maintenant des échanges.

Créez des questions/réponses, des jeux de rôles ou des exercices d’inversion, ou encore des quizz qui permettent d’apprécier les acquis des uns et des autres.

Acceptez d’être interrompu

Contrairement à une prise de parole linéaire et unilatérale où l’intervenant prend la parole puis propose un temps alloué aux questions en fin d’allocution, il est recommandé d’accepter d’être coupé dans sa prise de parole et de laisser son audience s’exprimer quand il a une question.

Cela favorise les échanges, apporte une nouvelle dynamique au discours et enrichit le débat.